Bienvenue sur le blog de la section athlétisme de Natixis mis à jour par les membres du bureau de la section. Vous y trouverez les informations sur les courses rendez-vous, des reportages sur les courses passées pendant l' année. Faîtes vivre ce blog avec nous !
samedi 19 décembre 2015
CDC2016 ... C'est parti !!
Découvrez la nouvelle équipe Natixis de la 30ème édition de la Course du Cœur sur le blog http://courseducoeur.natixis.com/ (bandeau de gauche).
N'hésitez pas également à vous abonner à la page Facebook "Natixis dans la Course du Cœur" https://www.facebook.com/Natixis-dans-la-Course-du-cœur-783087181821066/
mercredi 2 décembre 2015
Marathon de la Rochelle 42,195km le 29/11/2015
Retour sur la 25e édition du marathon de la
Rochelle 42,195km le 29/11/2015 :
Récit de Benoit Jehan, marathonien "sous les 3h" et membre du bureau :-)
Après un déjeuner bien mérité en terrasse à profiter du
port, on refait la course avec les voisins de table marathoniens. Compte tenu
de la météo je tente la visite de l’aquarium qui vaut vraiment le détour avec
de magnifiques spécimens de tortues et diverses espèces de requins très
impressionnants.
En résumé, je vous recommande cette course pour laquelle
le calendrier est très favorable au coureur : On ne commence pas sa prépa
pendant les vacances d’été mais gare aux conditions météo. Il y a 2 ans, la
course s’est faite sous la neige !
"La Rochelle est une ville magnifique en bord de mer où il
fait bon vivre. C’est un endroit parfait pour un week-end sympathique en bord
de mer à 3 heures de TGV de Paris.
Suites aux événements tragiques survenus à Paris, des
mesures de sécurité spécifiques ont été mises en place pour la récupération des
dossards, ça bouchonne avec beaucoup de monde, il y a foule pour cette 25e
édition.
Arrivé seul sur place, le samedi j’ai opté pour la pasta
party du marathon qui donne l’occasion d’échanger avec de nombreux coureurs
qu’ils soient confirmés ou débutants, c’est toujours un moment d’échanges
privilégiés et enrichissants.
J’ai eu la chance de trouver un hôtel à 200m du départ
situé Quai Maubec ce qui m’a grandement facilité les choses pour la gestion du
départ.
Arrivé à 8h45 dans le sas 3h-3h15, la météo n’est pas
vraiment de la partie et la pression commence à monter…
A 8h55, les 7 000 partants du marathon sont dans les
sas. L’organisation demande une minute de silence en mémoire des victimes des
attentats du 13/11 à Paris. Un silence imposant est respecté par tous les
coureurs, 7 000 personnes silencieuses ça fait un sacré effet ! Ça
met les poils !
A la suite de quoi tout le monte entonne La Marseillaise
avec beaucoup de ferveur, la course va pouvoir commencer l’ambiance est
guerrière.
A 9h00, le coup de feu retenti et nous nous élançons le
long de la ligne bleue au travers des ruelles de la ville. Les meneurs d’allure
me semblent un peu ambitieux, j’ai du mal à doubler le meneur 3h qui est parti
à 4’05/Km. Le circuit consiste en 2 boucles qui empruntent à plusieurs reprises
le centre-ville. Les encouragements vont bon train tout au long de la course.
Pas de difficulté majeure sur la course, si ce n’est une côte de 800m et un
faux plat de 2km qui sont pris à 2 reprises. Les kilomètres défilent, la météo
devient de moins en moins clémente avec une pluie fine et des rafales de vent importantes.
Sur les passages en front de mer, un vent latéral nous balaie, je suis surpris
à faire des écarts sur la route. Ca souffle fort !
Attention aux pavés mouillés, ça glisse un peu pour le
sprint final mais on se doit de donner le maximum.
Le marathon c’est bon mais c’est long, je suis heureux de
passer la ligne d’arrivée à proximité de la tour de la Lanterne récemment
rénovée. C’est tout simplement magnifique ! Je boucle la course en 2h55
améliorant ainsi mon précédent record, pour mon 2e marathon et avec
mon passé de « non-sportif » je suis tout simplement aux anges !
A l’arrivée on reçoit médaille, bisous des bénévoles
féminines, le classique coupe-vent de la Rochelle, une serviette de bain
surprise pour la 25e édition et une bourriche d’huîtres
locales ! Bref, je suis comblé.
Je profite du peu de monde encore arrivé pour aller me
faire masser par les kinés. La récupération n’est sera que plus facile.
A noter l’organisation propose également un 10km et un
challenge entreprise en relai sur le marathon. Toutes les infos sont ici :
http://www.marathondelarochelle.com/index.php/fr/
"
lundi 9 novembre 2015
Course Relais Nature au parc du Tremblay du 08/11/15
"Beau soleil et temps radouci, pour aller crosser dans la
verdure automnale, et formation d’une team (3 coureurs) sur un relais nature de
20km. Et, n'allez pas bien loin, pour trouver ce terrain de jeu : Parc du
Tremblay, à Joinville Le Pont.
L'USN aligne son team relais sur la ligne du départ :
Anne, Nicolas et moi. Le 1er court 8km, le 2ème 4km, le 3ème 4km, et les 3
réunis terminent la course ensemble sur 4km. Terrain privilégié des
crosseurs ; on ne fait pas le poids à côté, mais on se fait plaisir sur ce
parcours sinueux, les dénivelés sont faibles (mais bien plus forts que sur un
parcours Cross) et quelques cassures raides et accidentées, et des pentes qui
cassent l'allure et font monter le cardio. Par contre, au sommet, on profite
d'une belle vue sur le parc et d'une brise d'air pour refroidir la mécanique.
vendredi 30 octobre 2015
Ljubljana : week-end sportif inoubliable
« A pascal…
Vous cherchiez une destination
pour aller galoper en toute quiétude, le tout agrémenté d’un séjour dans une
ville au charme indéniable ? Et bien Ljubljuna (en Slovènie*) est
l’endroit dont vous rêviez : un charmant château qui veille sur la ville,
sa rivière et ses rues piétonnes, un marché aux saveurs locales et une ambiance
tranquille… Pour ce qui est des courses, 10 km, semi et marathon étaient
proposés par notre US vénérée avec de belles affluences (respectivement 6500,
8000 et 2300 participants). En ce dimanche 25 octobre, les départs se sont
effectués sous le signe de la fraicheur, accrue par un brouillard haut masquant
le soleil jusqu’environ 13h30. Le parcours du marathon, du centre-ville
vers une majorité de périphérie de Ljubljana puis retour au centre n’est pas
des plus pittoresque… Personnellement, malgré quelques crampes d’estomac
arrivées dès le 11ème km et provoquées par le froid (ainsi que mon
rythme de course digne du meilleur éthiopien (gasp !)) j’ai pu rallier la
ligne d’arrivée dans un temps satisfaisant, avec des encouragements nourris sur
certaines parties du parcours, des fanfares et un soleil retrouvé qui fût le
bienvenu. C’est donc un déplacement sportif mémorable de plus à mettre au
crédit de la section : merci à toute notre équipe du bureau de l’US Athlé
pour leur organisation millimétrée, plus proche que cela du départ et on
dormait sur la ligne !! Et Bravo à toutes les participantes et
participants de l’US pour ces moments de convivialité et de partage
sportif. »
Marc Ferrand
jeudi 29 octobre 2015
Festival des Templiers – Marathon des Causses du 24/10/15
Un endroit fantastique, un parcours sauvage et technique, un
décors magistral et une fidèle culture du trail . On s’élance de Millau, pour
grimper rapidement sur les Causses, terrible sélection mais cela permet
également de fluidifier le peloton. Au-dessus de ces grandes falaises, on
découvre la vallée avec en toile de fond le viaduc de Millau, et les ravins qui
entaillent ce plateau. On progresse ensuite dans les grandes forêts de
résineux, à travers de beaux sentiers techniques. Le terrain est changeant,
sablonneux, caillouteux, escarpé. Les vues plongeantes sur les corniches sont
spectaculaires, les couleurs des arbres et des feuilles sont saisissantes en cette
période d’automne. Mais, les longues et fortes montées m’ont épuisées (pas
l’habitude de fréquenter ce type de terrain en région parisienne). Pas facile
de relancer la machine tout de suite, arrivé au sommet. 3 ravitos sur le
parcours, le 1er au km14 mais juste un point d’eau (je ne me suis
donc pas arrêter car j’avais des réserves en eau), mais malheureuse tactile car
j’ai dû attendre le km24 pour avoir un vrai repos et ravitaillement. Mais, les
approvisionnements sont symboliques : eau et biscuit. Il m’a fallu
attendre le 3ème ravito au km30 pour accéder aux festins :
boissons énergisants, gazeux, une soupe chaude, de multiples pâtés et
saucissons, des fruits… Le réservoir bien rempli et les batteries rechargées
pour la dizaine de km restante. Enfin, une mémorable finale très aérienne,
toute en descente dans une corniche, dans le noir (nuit tombante) car j’avais
oublié ma lampe frontale, l’impression de flotter sur les caillasses, tout en
fixant dans la mire le point lumineux du stand d’arrière.
Nhan N'Guyen
vendredi 23 octobre 2015
Run and Pike de Paris du 18/10/15
Récit de Nhan Nguyen :
"Avec une diversité grandissante des activités autour du run,
Paris a organisé son 2ème Run and Bike, au pied de la Tour Eiffel et
sur les berges de la seine entre les ponts de l’Alma et de Garigliano, 18km sur
2 boucles (pour ceux qui n’ont pas eu le temps de contempler la Tour Eiffel
lors du 1er passage).
Philippe et moi avions décidé de perpétuer tous les 400m sur la
1ère boucle, puis tous les 300m sur la 2ème boucle.
Stratégie payante sur ce fractionné court et un temps raisonnable de repos sur
le vélo. Au final 1h10 sur 18km, soit une moyenne de 15.4 km/h. Rythme véloce
générant un filet de fumé sous les semelles, dixit Philippe. Temps pouvant
encore être amélioré avec une distance de permutation plus courte et une technique
de passage de relais améliorée (sans diminution de vitesse) : ok, rdv
l’année prochaine pour adopter cette stratégie.
Bonne organisation (balisage, routes fermées, prêt de vélo, grand et agréable espace de détente), bonne animation (musique, applaudissement, public), bon ravito et buffet final (pain, large choix de pâté, tomate cerise, cornichon et multitude fruits, le tout pour faire un bon sandwich). Dommage que le ciel gris et le froid, ne nous ont permis de s’étaler sur la pelouse pour ce pique-nique du dimanche. Mais, Philippe est reparti le sac bien garni de provision pour son déjeuner dominicale : une botte de radis et un bouquet de banane pour les flamber aux sucres et au Grand Marnier : c’est sa tactique pour reprendre les calories et poids perdus pendant la course…
mercredi 14 octobre 2015
20km de Paris - 11/10/15
récit de Patrice :
"Beau temps ce dimanche pour les 20Km de Paris. Une fois
n’est pas coutume, il fait beau et même si le temps s’est rafraichit une
température agréable pour courir.
L’organisation est huilée, s’améliore au fil des ans mais ça
pourrait être perfectible notamment pour celles et ceux en SAS préférentiels
qui doivent remonter tout le SAS 1h35 et se faufiler au milieu des coureuses et
coureurs depuis les vestiaires. Ou revenir jusqu’au métro pour contourner les
SAS et accéder aux SAS préférentiels par l’extérieur. Pas pratique. Ou sinon ne
pas avoir d’affaires à déposer aux vestiaires car le SAS 1h35 se trouve juste à
la sortie du stade d’où une certaine cohue à 30 minutes du départ (pire que
l’heure de pointe à Chatelet. Grrr). ;)
Donc beaucoup de monde (un peu trop à mon goût), 30 000
inscrits et un peu plus de 25 362 finishers.
Les nombreux dépassements nous ont fait rallonger les 20
kilomètres de 300 mètres (on n’est plus à 300 mètres près mais c’est une minute
de plus).
Au final, une course en négatif split (la foule a eu au
moins la vertu de ne pas partir trop vite). Le premier 10km en 43 minutes et le
deuxième en 42.
Sinon, c’est un beau parcours varié avec une première partie
dans le bois de Boulogne et la deuxième sur les berges de Seine. Parcours pas
évident avec cette montée dès le départ, suivi d’une longue descente, puis de
nombreux faux plats montants et descendants ainsi que les fameux tunnels des
voies sur berge.
Les temps des coureurs Natixis :
-
Amira Hajili : 1h46- Grégory Guldner : 1h37
- Alexandrino Fortes Dos Santos : 1h19
- Stéphane Bardelot : 1h25
- Patrice Viale : 1h25
Satisfait car l’objectif est atteint (finir en 1h25),
une belle course où on peut comme même atteindre ses objectifs malgré la foule
mais pas une pour aller chercher un chrono. Et une jolie médaille à
l’arrivée."
lundi 5 octobre 2015
Trail du four à Chaux (04/10/15)
L’US était représentée ce dimanche 04/10 sur le Trail du
four à chaux de Nandy dans le 77.
Pour ceux qui comme moi ne connaissance pas Nandy, c’est
entre Corbeilles Essonne et Melun. Ce Trail se déroule dans la forêt de Rougeau
près d’une boucle de la Seine, le départ est donné du pavillon Royal.
Pas de difficulté majeure à signaler au départ qui commence
par un l’allée Royal. Après l’entrée dans la clairière, le parcours devient de
en plus en plus technique au fur et à mesure de notre arrivée dans la forêt
profonde.
Beaucoup de single-tracks, notamment une remarquable avec un
magnifique panorama surplombant une boucle de la Seine. Nous longeons alors la
Seine dans sa version "sauvage" et nature, sur un petit sentier
mono-trace parsemé de multiples petites racines piégeuses
Les 2 difficultés majeures sont le passage du four à chaux
ainsi que la terrible côte pour arriver dans le parc du Château,
empruntée 2 fois pour les heureux participants du 26km.
Côté météo si le ciel bleu était au RDV au départ de Paris,
une brume épaisse s’est installée dans la forêt de Nandy. Nous n’apercevrons
pas l’ombre du soleil avant la fin de la course, bref il valait mieux sortir
couvert !
A l’arrivée pas de douches, pas de bar, pas de petite
restauration....mais une bonne surprise tout de même puisqu’une équipe d’Osthéo
propose ses bons et loyaux services.
jeudi 1 octobre 2015
lundi 14 septembre 2015
Infernal Trail des Vosges - 12/13 sept 2015
Récit de Marc Ferrand:
La première course du samedi, le 12 km, partie sous une pluie bien soutenue, a permis de prendre la mesure des parcours proposés, sans trop de visibilité sur les paysages malheureusement. Je laisse aux sangliers du 8,5 km le soin de conter leurs aventures du samedi soir car je me trouvais au même moment attablé, concentré sur ma préparation comme jamais, ayant préféré dialoguer avec une tête de veau (et je ne parle pas des personnes qui agrémentaient la tablée !) qu’avec nos amis sangliers.
Après une bonne nuit de récupération du trajet en voiture, c’est le jour J : départ à 9h30 pour 33 km de montées rudes sur un sol meuble de type terre de bruyère, de descentes parfois scabreuses, de passages dans les champs que je n’affectionne pas particulièrement et la chance d’avoir peu de pluie pendant la course.
Les forêts sont belles, le parcours aussi, même si, comme d’habitude, il est primordial de bien regarder où l’on pose les pieds si l’on veut éviter les ennuis. Après quelques 4 h de course, voilà enfin l’approche de l’arrivée, où mes petits camarades, assis au soleil (si, incroyable !!) m’encouragent pour les derniers mètres, juste le temps d’énerver deux concurrents que je double au sprint (vanité quand tu nous tiens !) et hop, je suis arrivé. Petite récupération au ravitaillement puis attente au soleil des natixiens encore en course, dont le valeureux Didier, parti pour les 72 km à 3h du mat’ et qui arrive en très bonne condition. Au final, je pense avoir bien préparé le marathon de Ljubljana d’octobre, même si les deux types d’effort sont très différents.
Marc"
jeudi 3 septembre 2015
J'ai testé pour vous ... le nouveau GARMIN 225
J’ai testé pour vous le nouveau GARMIN
225 (prise des pulsations au poignet)
par Stéphane Matencio
« Bon mon garmin 610 commençant à donner des signes de
fatigue et ne supportant plus la pression de la ceinture sur la poitrine, j'ai
pris la nouvelle GARMIN 225. L’intérêt réside dans un capteur au niveau du
poignet mais aussi dans un écran synthétique des allures et des zones de FC
(entrainement, footing, aérobie, seuil, max).
A peine acheté, je déballe mon joujou, la montre est belle pas
trop grosse. La prise en main est simple, la navigation est simple même si elle
ne se fait plus via un écran tactile comme j’avais sur la 610 mais via des
boutons. Je saute dans mes baskets pour une première sortie.
Première sortie de 13 kms et comment dire... je me suis fait
peur avec le fameux écran de FC. Alors que j'étais sur un train de
sénateur (10,5 - 11 km/h), brutalement je suis monté à 180 bpm (tiens mon coeur
va se décrocher ?) puis descente sous les 50 bpm (ah bah ca y est, KO
technique) et puis non je vous rassure tout allait pour le mieux. Bon je vais
traîner sur quelques forums pour trouver quelques retours d’expérience et en
fait c'est de ma faute : non seulement je n'ai pas téléchargé le dernier
firmware (la dernière mise à jour pour les non geeks où les digitals detox)
mais en plus je n’ai pas assez serré la montre.
Deuxième sortie : je réessaye avec la 610 au poignet gauche
+ la ceinture et la 225 au poignet droit (bien serrée) + mises à jour firmware
pour vraiment me faire une idée...Et là miracle, disparition des aberrations sur
les fréquences cardiaques, corrélation quasi parfaite entre les données de la
225 et de la 610 donc sortie concluante pour se faire une petite idée du
joujou.
Les plus :
- Détection cardio et GPS très rapide
- Plus de ceinture sur la poitrine = une liberté de mouvement retrouvée
- L'écran de fréquence cardiaque permet un vrai travail autour des zones cibles et ce d’un coup d’œil (voir image). Lors d’une récente sortie, je devais faire une séance de 1h00 très tranquille mais à jeun et rester dans la zone verte dite aéorobie (120 - 145 bpm), pour ne pas fatiguer, le but de la séance étant de faire de l'affutage. En 1h00 ma fréquence max a été de 147 bpm pour une moyenne à 133 donc contrat rempli.
- Détection cardio et GPS très rapide
- Plus de ceinture sur la poitrine = une liberté de mouvement retrouvée
- L'écran de fréquence cardiaque permet un vrai travail autour des zones cibles et ce d’un coup d’œil (voir image). Lors d’une récente sortie, je devais faire une séance de 1h00 très tranquille mais à jeun et rester dans la zone verte dite aéorobie (120 - 145 bpm), pour ne pas fatiguer, le but de la séance étant de faire de l'affutage. En 1h00 ma fréquence max a été de 147 bpm pour une moyenne à 133 donc contrat rempli.
Les moins :
- l'écran n'est pas tactile et quand on a gouté au tactile on ne peut plus s'en passer (comprenne qui pourra J )
- les 2eme et 3eme écran (le 1er étant celui des Fréquences cardiaques) ne permet l'affichage que de 3 données par écran, ce qui est un peu juste par rapport au données techniques que pouvait me donner le 610
Conclusion :
- je vais utiliser la 225 pour mes entraînements afin de travailler plus sérieusement (surtout sur les FC) et sans la contrainte de la ceinture
- je garde mon 610 pour les compétitions (mais sans la ceinture) car elle est tactile et le passage d'un écran à l'autre est plus facile; par ailleurs je pourrais afficher 4 infos techniques par écran
Donc je recommande pour ceux qui ne sont pas encore équipé ou un
vieux truc et veulent un bon compromis entre la simplicité et avoir les données
essentielles à un bon entraînement.
Pour ceux qui sont déjà équipé en 6xx ou plus, peut-être
attendre la déclinaison en 625 ou x25 qui permettra d’avoir le meilleur
des 2 mondes : données techniques étendues, écran tactile, prise de pulse
au poignet.
J’allais oublier le prix : 299 € »
mardi 30 juin 2015
Trail des Ardennes (93km) par Samuel
Samuel Gotto y était et il raconte son périple !
"C’était une bien belle
course !
J’avoue être fort agréablement
surpris par les paysages : je m’attendais à courir 93km dans des bois
sombres, traverser des villages un peu glauques, et voire même croiser quelques
poilus…
Il n’en fut rien : les bois
et forêts sont très variés (pins, sapins, fougères, pierriers…), bien
entretenus et propres, tout comme les tombes et stèles en hommage aux valeureux
combattants des 2 grandes guerres !
Les villages ne respirent pas la
richesse mais sont très « bucoliques » et typiques. Bref,
charmants à l’image des 250 bénévoles qui se sont mis en 4 pour nous !
D’un point de vue sportif, la
nuit sous la tente fut bonne malgré un gros orage entre 2 et 3h du matin.
Nous avons pris le départ à 5h
entourés de bénévoles formant une haie, nous éclairant à l’aide de flambeaux et
au son d’une cornemuse…
Malgré l’heure matinale, il
faisait déjà une chaleur très moite dans les sous-bois.
Les 30 premiers km se sont
plutôt bien passés, on est parti sur un bon rythme (peut-être un peu vite) et
on s’est bien appliqué dans les relances mais on a accusé un gros coup de mou sur
15 bornes (c’est long…).
Il faut dire que les côtes sont
raides, pas forcément longues (entre 15 et 40’ d’ascension maximum) mais
nombreuses !
On s’est jeté sur l’eau au
ravito du 40km (1l en 3’) ce qui m’a fortement ballonné le ventre et donné des
points de côté…
Je pense qu’on a mal géré
l’alimentation : pour rappel les ravitos ne servaient que de l’eau et
uniquement de l’eau (pas de café, pas de coca, pas d’eau gazeuse, je peux vous
dire que cela fait une petite différence) aussi on s’est forcé à manger du
sucré et du salé à chaque fois, et c’était peut-être trop…
La côte appelé « petite
Madagascar » est impressionnante : un mur tout droit d’une longueur
de 400m pour un dénivelé de 200m fut parcouru en 12’…. On est loin des chronos
sur piste !
Arrivé au ravito du 54km, nous
bénéficions d’un sac d’allégement dans lequel j’ai mis du change (chaussettes
et t-shirt) et un Tupperware de pâtes. Je crois qu’on était les seuls à ne pas
avoir mis de canette de coca et/ou de St Yorre et mon regard en disait
long !
Après 30’ de pause on a pu
retrouver et garder du rythme mais il faut dire que la seconde partie est moins
technique ce qui nous a permis de courir un peu plus et un peu plus vite (je
vous rassure, sur du plat on frôlait le 11km/h…).
Le faible nombre de participants
(236 partants) nous assure de longs moments seuls dans les bois ce qui est très
agréable (il faut juste faire attention au balisage).
Néanmoins, le fait de n’avoir
personne en ligne de mire ne nous amène pas à forcer l’allure et nous motive
guère…
Tout du long de la course notre
classement a évolué autour de la 30ème place, on a juste
«ramassé » sur les 10 derniers km 3 ou 4 personnes à l’agonie dont la
1ère féminine!
A à 500m de l’arrivée on
traverse la Meuse : 80m dans l’eau à mi-cuisse, c’est un vrai régal et un
soulagement musculaire, une très bonne idée…
Du coup, on fait un super
classement (ce qui me surprend un peu : le niveau ne devait pas être top)
et un bon chrono (on visait moins de 17h).
Il y a eu un peu plus de 40%
d’abandon dû à la chaleur… Certes il faisait chaud (normal : on est quand
même fin juin) mais on n’était rarement exposé au soleil.
Ceci dit le parcours est dur,
exigeant, les cuisses et mollets en ont pour leurs frais…
Une fois n’est pas coutume, j’ai
profité d’une séance de kiné d’1/2h pour un bon massage puis d’une séance
d’osthéo de 45’ (les Ardennes possèdent de belles bénévoles…) qui ont puisé le
peu d’énergie qu’il me restait (juste de quoi pouvoir boire 2 bières) !
C’est une bien belle course, qui
nous fait découvrir un bel endroit ! "
lundi 29 juin 2015
Oxytrail - 28/06/2015
beaucoup d'adhérents inscrits sur une des 2 distances de l'OxyTrail; le récit de Laurent Caraux :
"L’Oxy’Trail 23 part du parc de Noisiel pour descendre sur les bords de Marne, tout en discutant avec un Maurice fort sympathique (cf photo). On passe ensuite dans le parc du château de Champs-sur-Marne et ses beaux jardins. Un peu de sous-bois dans le Bois de Grace et de la route pour passer devant l’Université Paris-Est Marne-la-Vallée, et d’autres bâtiments remarquables : Copernic, Rabelais, Lavoisier… On contourne ensuite l’étang de la Haute Maison, premier d’une longue série puis le parc du Luzard et le bois de la Grange pour retrouver un peu d’ombre. Un long passage de bitume avant la montée des marches du parc du Segrais offrant un pano sur le Val Maubuée. On longe alors 5 étangs pour arriver dans un autre parc avec un amphithéâtre bleu ... et quelques marches à gravir. On redescend après le long de la Marne. En s’approchant de l’arrivée, un Nième pont nous permet de voir la chocolaterie Menier puis une passerelle nous donne accès à l’une des îles de la Marne, et on passe devant un barrage. On remonte enfin vers le point de départ, le parc de Noisiel. En résumé, un parcours pas très difficile, plutôt une course nature avec pas mal de bitume. La difficulté aura été la chaleur, mon ennemie jurée. Une organisation bien calée mais avec un carton rouge cependant pour l’eau qui aura manquer dès le 1er ravito à notre “niveau”. Pour une course en ville courue un midi de fin juin, pas terrible...
la petite vidéo : http://youtu.be/_b9B1SSWC4s"
Notre Maurice National, également engagé sur le 23km
"L’Oxy’Trail 23 part du parc de Noisiel pour descendre sur les bords de Marne, tout en discutant avec un Maurice fort sympathique (cf photo). On passe ensuite dans le parc du château de Champs-sur-Marne et ses beaux jardins. Un peu de sous-bois dans le Bois de Grace et de la route pour passer devant l’Université Paris-Est Marne-la-Vallée, et d’autres bâtiments remarquables : Copernic, Rabelais, Lavoisier… On contourne ensuite l’étang de la Haute Maison, premier d’une longue série puis le parc du Luzard et le bois de la Grange pour retrouver un peu d’ombre. Un long passage de bitume avant la montée des marches du parc du Segrais offrant un pano sur le Val Maubuée. On longe alors 5 étangs pour arriver dans un autre parc avec un amphithéâtre bleu ... et quelques marches à gravir. On redescend après le long de la Marne. En s’approchant de l’arrivée, un Nième pont nous permet de voir la chocolaterie Menier puis une passerelle nous donne accès à l’une des îles de la Marne, et on passe devant un barrage. On remonte enfin vers le point de départ, le parc de Noisiel. En résumé, un parcours pas très difficile, plutôt une course nature avec pas mal de bitume. La difficulté aura été la chaleur, mon ennemie jurée. Une organisation bien calée mais avec un carton rouge cependant pour l’eau qui aura manquer dès le 1er ravito à notre “niveau”. Pour une course en ville courue un midi de fin juin, pas terrible...
la petite vidéo : http://youtu.be/_b9B1SSWC4s"
Notre Maurice National, également engagé sur le 23km
mercredi 24 juin 2015
Transbaie du 14/06 - le récit
compte rendu de la Transbaie, course évènement organisée par votre bureau préféré
"Comment courir
autrement que sur du bitume, sur piste ou sur des sentiers en sous-bois ?
La Transbaie (traversée de la baie de Somme) propose une alternative, à
mi-chemin entre une course sur sable et un Mud Day !!! C’est à la fois,
fun et sportif, mais surtout animé, festif et cure de boue à volonté. Des
jeunes mariés , avec une robe blanche (au départ), des Viking chevelus, des
hommes de Cro-Magnon et des baigneurs vêtus de maillots entiers rayés des
années 30, se vautrent dans la vase avec le sourire, les hurlements des
coureurs et les clameurs de satisfaction du public. Dans cet univers gras,
boueux et humide, la solidarité est primordiale (assistance pour sortir des
grevasses ou gravir les murets de boue, recherche de basket bloqué dans la
vase…), l’endurance est nécessaire pour maintenir la cadence et le chrono
finalement importe peu. La traversée des cours d’eau, jusqu’à la
taille, les sauts par-dessus les crevasses (lorsqu’on ne tombe pas) freinent
inévitablement l’allure, mais les villes du Crotoy (mi-course) et de
Saint-Valéry (arrivée) restant dans la mire, permettent de se dire que la fin
est proche…
Au final, 18km de
torture mais aussi d’amusement et de satisfaction, pour nos 10 coureurs de
l’USN. Un grand merci à notre GO de la section qui a préparé avec succès cet
agréable WE… La prochaine fois, il faudrait qu’il arrive à commander du beau
temps."
photos à suivre !
mardi 16 juin 2015
10 km l'équipe - 14/06/2015
Récit de Patrice Viale, sur le 10 km l'équipe
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"Le 10Km de
l’Equipe, c’est le plus grand 10km de France avec 21 000 inscrits pour
cette 5ème édition soit 2 coureurs par mètre (sic).
Ça fait du
monde ! ET ça se voit aussi bien par l’occupation du Boulevard Sébastopol
que lors de course où j’ai eu un peu de mal à inscrire mon rythme sur les 4
premiers kilomètres. Mais globalement, les coureurs étaient dans le rythme de
leurs sas.
Organisation bien
huilée (ASO power) avec 7 sas de départ avec un départ échelonné toutes les 5
minutes.
Du beau temps
avec des zones à l’ombre. Pas trop chaud, juste ce qu’il faut pour ne pas
souffrir de la chaleur.
J’étais dans le sas
moins de 42 min avec Stéphane Bardelot et Willy Losat (externe) dit Beep-Beep
(j’ai à peine eu le temps de le voir partir au top départ qu’il terminait la
boucle en 36 minutes et des poussières).
Autres coureurs
de la section : Alexandrino Fortes Dos Santos, Gaétan Montels (sas -48
min), Marc Ferrand et Dominique Bœuf (sas -55 min).
Beau parcours
roulant jusqu’au 4ème où les difficultés commencent avec la fameuse
montée de Daumesnil pour rejoindre la place Félix Eboué.
Mais suivi d’une
belle descente pour récupérer un peu où se trouve le ravito au 5ème
kil.
Et c’est là où on
attaque le plus dur. La fatigue commence à arriver et avec pas mal de long faux
plat montant dès le kilomètre 5,5 jusqu’au 7.
La dernière
difficulté se trouve au 8ème sur environ 500 mètres pour grimper au
Père Lachaise.
Faut serrer les
dents car après, c’est une pure descente du kilomètre 8,5 jusqu’à l’arrivée.
Du bonheur pour
rattraper un peu du temps perdu même si les jambes n’étaient plus trop
là. ;)
L’avantage de
cette course est qu’elle passe rapidement.
C’est le plaisir
de courir de Paris avec son paysage urbain varié et contrasté (oui je sais
c’est une ineptie pour nos amis trailers de parler de paysage urbain :D)
et de sortir de parcours monotone organisé en deux boucles.
Une belle course,
pas facile et un peu trop de monde mais un beau 10km.
Les temps des
coureurs de l’US :
-
Dominique
Bœuf : 59’25’’
-
Marc
Ferrand : 54’49’’
-
Gaétan
Montels : 47’11’’
-
Stéphane
Bardelot : 41’15’’
-
Alexandrino
Fortes Dos Santos : 37’52’’
-
Et
moi-même : 39’47’’
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Récit de notre reporter Marc Ferrand
"Une
de nos amies nous ayant sollicité pour participer à la course par Equipe (4
personnes, temps calculé sur le cumul des perfs), Béatrice et moi avons grossi
(surtout Béatrice !! Hou le mufle !!!) le flot des 18152 participants
présents en ce beau dimanche 14 juin. J’ai accompagné ces dames durant 4 km
avant de prendre mon envol, faisant fumer le macadam de ma foulée supersonique,
dérapant dans les virages, déboitant à l’aspiration derrière des concurrents médusés
de voir une telle maestria !!! OK, OK, je me calme : bon, j’ai
légèrement accéléré après 4 km de course pour rattraper le meneur
d’allure des 55’ qui nous avait pris 600m et que j’ai repris uniquement en fin
de course.
Belle
organisation, temps idéal, bravo à ma moitié qui a réalisé près d’1h et à mon
équipe pour les 4h02 cumulées."
mercredi 10 juin 2015
07/05 : we chargé pour nos adhérents
Au programme le week-end dernier, 4 courses sur lesquelles étaient engagés 5 adhérents
Photos d'Amira sur le Nike Women 15km :
07/06/2015
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Nike Women (15 km)
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Amira Hajili
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07/06/2015
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Trail des lavoirs (78)
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Nhan Nguyen
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Laurent Caraux
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07/06/2015
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Foulée d'orgerus (12,5)
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Jérome Vinson
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07/06/2015
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Marathon de Marne et Gondoire CR 42km
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Eric Crosnier
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Récit de Nhan sur le Trail des lavoirs :
"Temps exceptionnel pour aller
courir dans les prés et espaces boisés, mais pas n’importe où : la vallée
de Chevreuse avec ses belles forêts de chênes, ses vallons à fort dénivelé, ses
singles à travers rochers et fougères et ses parcelles de champs de blé, et
enfin ses multiples sites médiévaux et historiques.
Départ donné dans le château de
la Madeleine (fort du 12ème siècle), traversée du jardin de l’abbaye
du Port-Royal, emprunt du chemin de la Jean Racine, passage dans les carrières
de grès, aperçu des lavoirs, des manoirs, et passage dans le domaine du Vaux de
Cernay et le long des cascades de l’Yvette. Ce décor enchante la vue, pendant
que les jambes et muscles travaillent activement pour arpenter les sentiers
vallonnés de cette région. Dommage que cette année, ils sont supprimé le
passage devant les châteaux de Dampierre et de Méridon, ainsi que la traversée dans la buse de
Choisel (accroupie pour crapahuter dans un tunnel et dans le noir).
La particularité de ce trail est
qu’il impose une autonomie totale (eau, ravito) sur tout le parcours. Mais
après la vague de chaleur de la semaine dernière, ils ont estimé prudent de
positionner un ravitaillement à mi-parcours au km16, avec une assistance des
secouristes…
Enfin, récompensé par une bière
locale après franchissement de la ligne d’arrivée, repos et ravitaillement
mérités, allongé sur la pelouse du village sous un beau soleil.
Nhan"
Photos d'Amira sur le Nike Women 15km :
Photo de ma pomme sur le marathon Marne Et Gondoire :
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