vendredi 7 décembre 2018

Bon plan réparation du mesh de vos chaussures par BigBen


Peut être que tout comme moi vous avez déjà été confrontés à la découverte d'un trou béant dans le mesh de vos Chaussures préférées alors que la semelle est en parfait état ?

Si c'est le cas, ce petit post devrait vous intéresser.

J'ai expérimenté cette technique la veille du week-end de la course des terrils quand j'ai découvert que mes fidèles compagnes de course à pieds étaient coupés au niveau du dessus de la chaussure, sur le pli du coup de pied. Vu la parcours, je me suis dit qu'avec ces chaussures trouées, j'aurais des morceaux de terrils plein les chaussures. Beaucoup trop tard pour emporter une paire de running neuves, j'ai cherché la solution de la dernière chance.

Je me suis donc précipité après le travail dans mon magasin décathlon préféré, direction rayon camping.

Pour moins de 10€, j'ai investi dans cette colle à tissu spécialement conçue pour réparer les toiles de tentes.

L'intervention est simple et efficace. Il suffit de se munir d'un morceau de sparadrap permettant de rapprocher les bords du mesh déchiré. On colle les bords rapprochés par le dessous.

Avec une petite baguette en bois, on applique généreusement la colle sur le morceau de mesh à réparer.

Il suffit de laisser prendre la colle à température ambiante. Le lendemain matin, j'ai retiré le sparadrap et le tissu était bien réparé.

J'ai effectué la course des allumés le lendemain soir avec ces chaussures, puis le trail de 25km que nous avons gagné en équipe.

Environ 3 mois après la réparation, mes chaussures sont en parfait état et continuent à me rendre de précieux services sur les entraînements et autres trails.

J'ai placer le tube de colle dans le congélateur pour allonger la durée de vie de la colle.

Amusez vous bien à réparer vos shoes !

mardi 4 décembre 2018

Run and Bike du Palaiseau (25/11/18)

Récit de Nhan N.


 
"Je confirme que nous sommes bien ancrés dans la saison pluvieuse et fraiche de l’automne. C’est l’occasion de pratiquer le patinage et le moulinage sur terrain gras, à la course à pied et en VTT. On se retrouve sur le campus et le parc de l’école Polytechnique, pour le Run & Bike de Palaiseau, qui nous oblige à alterner périodiquement ces 2 disciplines avec son partenaire (2 coureurs et 1 VTT). Jean-Jacques et moi étions alignés sur le parcours de 16km (3 boucles de 5km). Nos compères, Virginie, Christian et Vincent, étaient positionnés avec leur binôme sur le parcours du 10km.   

 



Jean-Jacques prend le départ par une course à pied de 800m. C’est la condition pour étaler le peloton avant de récupérer le VTT. Ensuite, il me passe le relais pour la course à pied, et prend le VTT. Nous avions établi notre stratégie de course, avec une permutation tous les 300-400m. Sur cette course, on est autorisé à déposer le VTT au sol, avant de se mettre à courir.. son binôme arrive, récupère le VTT et se met à pédaler... et la logique veut que le Vttétiste dépasse le coureur, puis dépose le VTT plus loin, ensuite se met à courir, et cetera… la règle veut également qu’à chaque tour et sur la ligne d’arrivée, les 2 co-équipiers arrivent ensembles. Sur un terrain gras, en pratique, les choses sont plus compliquées, car en VTT, les roues patinent dans la boue. Cela est donc plus compliqué en VTT pour rattraper son coureur et le doubler. Il fallait également avoir de bons crampons sous ses chaussures pour garder un bon rythme de course à pied. Chutes et glissades à gogo sur le parcours, télescopages incontrôlés entre coureurs et VTT. Il fallait rechercher le bon endroit (marre d’eau, débordement dans l’herbe sur le côté, etc..) en VTT pour doubler les coureurs. Mais, Jean-Jacques et moi avions parfaitement géré cette situation, et avions doublé quelques concurrents de course grâce à nos permutations coordonnées et stratégiques. Sur les 2 derniers km, nous avions raccourci nos permutations, tous les 200m, et ce afin d’avoir le maximum de punch pour la course à pied.

 

 
Comme sur un fractionné, nous avions couru à 13km/h de moyenne sur 15km, aidé par le VTT pour la phase de récupération, mais pas si reposant que ça à cause d’un terrain bien gras… Arrivés à la 168 emeplace sur 218, en 1h10min, bien loin derrière les triathlètes de compétition, mais nous étions contents de notre stratégie et gestion de course. R&B bien fun, malgré un temps maussade et pluvieux, et un terrain de jeu bien glissant."