samedi 19 décembre 2015

CDC2016 ... C'est parti !!



Découvrez la nouvelle équipe Natixis de la 30ème édition de la Course du Cœur sur le blog http://courseducoeur.natixis.com/ (bandeau de gauche).

N'hésitez pas également à vous abonner à la page Facebook "Natixis dans la Course du Cœur" https://www.facebook.com/Natixis-dans-la-Course-du-cœur-783087181821066/

mercredi 2 décembre 2015

Marathon de la Rochelle 42,195km le 29/11/2015

Retour sur la 25e édition du marathon de la Rochelle 42,195km le 29/11/2015 :

Récit de Benoit Jehan, marathonien "sous les 3h" et membre du bureau :-)

"La Rochelle est une ville magnifique en bord de mer où il fait bon vivre. C’est un endroit parfait pour un week-end sympathique en bord de mer à 3 heures de TGV de Paris.
 

Suites aux événements tragiques survenus à Paris, des mesures de sécurité spécifiques ont été mises en place pour la récupération des dossards, ça bouchonne avec beaucoup de monde, il y a foule pour cette 25e édition.

Arrivé seul sur place, le samedi j’ai opté pour la pasta party du marathon qui donne l’occasion d’échanger avec de nombreux coureurs qu’ils soient confirmés ou débutants, c’est toujours un moment d’échanges privilégiés et enrichissants.

J’ai eu la chance de trouver un hôtel à 200m du départ situé Quai Maubec ce qui m’a grandement facilité les choses pour la gestion du départ.

Arrivé à 8h45 dans le sas 3h-3h15, la météo n’est pas vraiment de la partie et la pression commence à monter…

A 8h55, les 7 000 partants du marathon sont dans les sas. L’organisation demande une minute de silence en mémoire des victimes des attentats du 13/11 à Paris. Un silence imposant est respecté par tous les coureurs, 7 000 personnes silencieuses ça fait un sacré effet ! Ça met les poils !

A la suite de quoi tout le monte entonne La Marseillaise avec beaucoup de ferveur, la course va pouvoir commencer l’ambiance est guerrière.

A 9h00, le coup de feu retenti et nous nous élançons le long de la ligne bleue au travers des ruelles de la ville. Les meneurs d’allure me semblent un peu ambitieux, j’ai du mal à doubler le meneur 3h qui est parti à 4’05/Km. Le circuit consiste en 2 boucles qui empruntent à plusieurs reprises le centre-ville. Les encouragements vont bon train tout au long de la course. Pas de difficulté majeure sur la course, si ce n’est une côte de 800m et un faux plat de 2km qui sont pris à 2 reprises. Les kilomètres défilent, la météo devient de moins en moins clémente avec une pluie fine et des rafales de vent importantes. Sur les passages en front de mer, un vent latéral nous balaie, je suis surpris à faire des écarts sur la route. Ca souffle fort !
 

Attention aux pavés mouillés, ça glisse un peu pour le sprint final mais on se doit de donner le maximum.

Le marathon c’est bon mais c’est long, je suis heureux de passer la ligne d’arrivée à proximité de la tour de la Lanterne récemment rénovée. C’est tout simplement magnifique ! Je boucle la course en 2h55 améliorant ainsi mon précédent record, pour mon 2e marathon et avec mon passé de « non-sportif » je suis tout simplement aux anges !

 
A l’arrivée on reçoit médaille, bisous des bénévoles féminines, le classique coupe-vent de la Rochelle, une serviette de bain surprise pour la 25e édition et une bourriche d’huîtres locales ! Bref, je suis comblé.


Je profite du peu de monde encore arrivé pour aller me faire masser par les kinés. La récupération n’est sera que plus facile.

 Après un déjeuner bien mérité en terrasse à profiter du port, on refait la course avec les voisins de table marathoniens. Compte tenu de la météo je tente la visite de l’aquarium qui vaut vraiment le détour avec de magnifiques spécimens de tortues et diverses espèces de requins très impressionnants.

 En résumé, je vous recommande cette course pour laquelle le calendrier est très favorable au coureur : On ne commence pas sa prépa pendant les vacances d’été mais gare aux conditions météo. Il y a 2 ans, la course s’est faite sous la neige !

A noter l’organisation propose également un 10km et un challenge entreprise en relai sur le marathon. Toutes les infos sont ici : http://www.marathondelarochelle.com/index.php/fr/ "

 





lundi 9 novembre 2015

Course Relais Nature au parc du Tremblay du 08/11/15


récit de Nhna Nguyen :
 

"Beau soleil et temps radouci, pour aller crosser dans la verdure automnale, et formation d’une team (3 coureurs) sur un relais nature de 20km. Et, n'allez pas bien loin, pour trouver ce terrain de jeu : Parc du Tremblay, à Joinville Le Pont.

 

L'USN aligne son team relais sur la ligne du départ : Anne, Nicolas et moi. Le 1er court 8km, le 2ème 4km, le 3ème 4km, et les 3 réunis terminent la course ensemble sur 4km. Terrain privilégié des crosseurs ; on ne fait pas le poids à côté, mais on se fait plaisir sur ce parcours sinueux, les dénivelés sont faibles (mais bien plus forts que sur un parcours Cross) et quelques cassures raides et accidentées, et des pentes qui cassent l'allure et font monter le cardio. Par contre, au sommet, on profite d'une belle vue sur le parc et d'une brise d'air pour refroidir la mécanique.

 En tout cas, un parcours bien fun, à partager en équipe, sur une belle matinée d’automne..."
 



 

vendredi 30 octobre 2015

Ljubljana : week-end sportif inoubliable


« A pascal…


Vous cherchiez une destination pour aller galoper en toute quiétude, le tout agrémenté d’un séjour dans une ville au charme indéniable ? Et bien Ljubljuna (en Slovènie*) est l’endroit dont vous rêviez : un charmant château qui veille sur la ville, sa rivière et ses rues piétonnes, un marché aux saveurs locales et une ambiance tranquille… Pour ce qui est des courses, 10 km, semi et marathon étaient proposés par notre US vénérée avec de belles affluences (respectivement 6500, 8000 et 2300 participants). En ce dimanche 25 octobre, les départs se sont effectués sous le signe de la fraicheur, accrue par un brouillard haut masquant le soleil jusqu’environ 13h30. Le parcours du marathon, du  centre-ville vers une majorité de périphérie de Ljubljana puis retour au centre n’est pas des plus pittoresque…  Personnellement, malgré quelques crampes d’estomac arrivées dès le 11ème km et provoquées par le froid (ainsi que mon rythme de course digne du meilleur éthiopien (gasp !)) j’ai pu rallier la ligne d’arrivée dans un temps satisfaisant, avec des encouragements nourris sur certaines parties du parcours, des fanfares et un soleil retrouvé qui fût le bienvenu. C’est donc un déplacement sportif mémorable de plus à mettre au crédit de la section : merci à toute notre équipe du bureau de l’US Athlé  pour leur organisation millimétrée, plus proche que cela du départ et on dormait sur la ligne !! Et Bravo à toutes les participantes et participants de l’US pour ces moments de convivialité et de partage sportif. »
 
Marc Ferrand

 

jeudi 29 octobre 2015

Festival des Templiers – Marathon des Causses du 24/10/15


 
 
 
Un endroit fantastique, un parcours sauvage et technique, un décors magistral et une fidèle culture du trail . On s’élance de Millau, pour grimper rapidement sur les Causses, terrible sélection mais cela permet également de fluidifier le peloton. Au-dessus de ces grandes falaises, on découvre la vallée avec en toile de fond le viaduc de Millau, et les ravins qui entaillent ce plateau. On progresse ensuite dans les grandes forêts de résineux, à travers de beaux sentiers techniques. Le terrain est changeant, sablonneux, caillouteux, escarpé. Les vues plongeantes sur les corniches sont spectaculaires, les couleurs des arbres et des feuilles sont saisissantes en cette période d’automne. Mais, les longues et fortes montées m’ont épuisées (pas l’habitude de fréquenter ce type de terrain en région parisienne). Pas facile de relancer la machine tout de suite, arrivé au sommet. 3 ravitos sur le parcours, le 1er au km14 mais juste un point d’eau (je ne me suis donc pas arrêter car j’avais des réserves en eau), mais malheureuse tactile car j’ai dû attendre le km24 pour avoir un vrai repos et ravitaillement. Mais, les approvisionnements sont symboliques : eau et biscuit. Il m’a fallu attendre le 3ème ravito au km30 pour accéder aux festins : boissons énergisants, gazeux, une soupe chaude, de multiples pâtés et saucissons, des fruits… Le réservoir bien rempli et les batteries rechargées pour la dizaine de km restante. Enfin, une mémorable finale très aérienne, toute en descente dans une corniche, dans le noir (nuit tombante) car j’avais oublié ma lampe frontale, l’impression de flotter sur les caillasses, tout en fixant dans la mire le point lumineux du stand d’arrière.
Nhan N'Guyen

 

vendredi 23 octobre 2015

Run and Pike de Paris du 18/10/15


Récit de Nhan Nguyen :
 
"Avec une diversité grandissante des activités autour du run, Paris a organisé son 2ème Run and Bike, au pied de la Tour Eiffel et sur les berges de la seine entre les ponts de l’Alma et de Garigliano, 18km sur 2 boucles (pour ceux qui n’ont pas eu le temps de contempler la Tour Eiffel lors du 1er passage).
 

 Le Run and Bike est une course en binôme qui consiste à enchainer la course à pied et le vélo, avec un seul vélo pour 2 équipiers. Le binôme est libre sur sa stratégie de la course et du moment de permutation sur le vélo. La seule contrainte est d’arriver ensemble (franchissement de la ligne d’arrivée, avec les 2 équipiers et le vélo).
 
Philippe et moi avions décidé de perpétuer tous les 400m sur la 1ère boucle, puis tous les 300m sur la 2ème boucle. Stratégie payante sur ce fractionné court et un temps raisonnable de repos sur le vélo. Au final 1h10 sur 18km, soit une moyenne de 15.4 km/h. Rythme véloce générant un filet de fumé sous les semelles, dixit Philippe. Temps pouvant encore être amélioré avec une distance de permutation plus courte et une technique de passage de relais améliorée (sans diminution de vitesse) : ok, rdv l’année prochaine pour adopter cette stratégie.

 



Bonne organisation (balisage, routes fermées, prêt de vélo, grand et agréable espace de détente), bonne animation (musique, applaudissement, public), bon ravito et buffet final (pain, large choix de pâté, tomate cerise, cornichon et multitude fruits, le tout pour faire un bon sandwich). Dommage que le ciel gris et le froid, ne nous ont permis de s’étaler sur la pelouse pour ce pique-nique du dimanche. Mais, Philippe est reparti le sac bien garni de provision pour son déjeuner dominicale : une botte de radis et un bouquet de banane pour les flamber aux sucres et au Grand Marnier : c’est sa tactique pour reprendre les calories et poids perdus pendant la course…


mercredi 14 octobre 2015

20km de Paris - 11/10/15


récit de Patrice :
 
"Beau temps ce dimanche pour les 20Km de Paris. Une fois n’est pas coutume, il fait beau et même si le temps s’est rafraichit une température agréable pour courir.
 

 
 
L’organisation est huilée, s’améliore au fil des ans mais ça pourrait être perfectible notamment pour celles et ceux en SAS préférentiels qui doivent remonter tout le SAS 1h35 et se faufiler au milieu des coureuses et coureurs depuis les vestiaires. Ou revenir jusqu’au métro pour contourner les SAS et accéder aux SAS préférentiels par l’extérieur. Pas pratique. Ou sinon ne pas avoir d’affaires à déposer aux vestiaires car le SAS 1h35 se trouve juste à la sortie du stade d’où une certaine cohue à 30 minutes du départ (pire que l’heure de pointe à Chatelet. Grrr). ;)

Donc beaucoup de monde (un peu trop à mon goût), 30 000 inscrits et un peu plus de 25 362 finishers.

 Avec Stéphane, on était en préférentiel 2. Malgré cela sur le premier kilomètre, on perd beaucoup de temps dans la première montée du à la foule de coureurs (plus de 2000 coureurs sur les préférentiels 1 et 2). Avec plus d’une minute de perdue sur le premier kilomètre (impossible de dépasser dans de bonnes conditions), on a attendu le 9ème kilomètre pour atteindre notre vitesse de croisière par rapport à notre objectif.

Les nombreux dépassements nous ont fait rallonger les 20 kilomètres de 300 mètres (on n’est plus à 300 mètres près mais c’est une minute de plus).

Au final, une course en négatif split (la foule a eu au moins la vertu de ne pas partir trop vite). Le premier 10km en 43 minutes et le deuxième en 42.

Sinon, c’est un beau parcours varié avec une première partie dans le bois de Boulogne et la deuxième sur les berges de Seine. Parcours pas évident avec cette montée dès le départ, suivi d’une longue descente, puis de nombreux faux plats montants et descendants ainsi que les fameux tunnels des voies sur berge.

 Le Tour Eiffel est omniprésente d’où le rappel sur le tee-shirt (que je trouve moche cette année). On part avec la Tour Eiffel dans le dos, on arrive sous elle et sur la deuxième partie du parcours, on ne voit qu’elle (ou presque) rien que pour le plaisir des yeux. J
 
 

Les temps des coureurs Natixis :
-          Amira Hajili : 1h46
-          Grégory Guldner : 1h37
-          Alexandrino Fortes Dos Santos : 1h19
-          Stéphane Bardelot : 1h25
-          Patrice Viale : 1h25

Satisfait car l’objectif est atteint (finir en 1h25), une belle course où on peut comme même atteindre ses objectifs malgré la foule mais pas une pour aller chercher un chrono. Et une jolie médaille à l’arrivée."

lundi 5 octobre 2015

Trail du four à Chaux (04/10/15)


L’US était représentée ce dimanche 04/10 sur le Trail du four à chaux de Nandy dans le 77.
 

Pour ceux qui comme moi ne connaissance pas Nandy, c’est entre Corbeilles Essonne et Melun. Ce Trail se déroule dans la forêt de Rougeau près d’une boucle de la Seine, le départ est donné du pavillon Royal.

 Le parc du Pavillon Royal marque aussi l’extrémité de l’allée Royale qui relie les forêts de Sénart et de Rougeau. En rebord de plateau, la Seine forme une boucle en cet endroit. 
2 formats de courses sont proposés : un 11 Km sur lequel Nhan et Laurent se sont engagés, un 26 km avec environ 550D+ sur lequel Stéphane, Patrick, Nicolas et moi avons pris le départ.

 Le coup d’envoi a été donné en simultané à 9h30 pour les 2 courses. Le 26 Km emprunte une première boucle qui n’est autre que le parcours du 11km, puis une seconde boucle élargie de 15Km.

Pas de difficulté majeure à signaler au départ qui commence par un l’allée Royal. Après l’entrée dans la clairière, le parcours devient de en plus en plus technique au fur et à mesure de notre arrivée dans la forêt profonde.

Beaucoup de single-tracks, notamment une remarquable avec un magnifique panorama surplombant une boucle de la Seine. Nous longeons alors la Seine dans sa version "sauvage" et nature, sur un petit sentier mono-trace parsemé de multiples petites racines piégeuses

Les 2 difficultés majeures sont le passage du four à chaux ainsi que la terrible côte pour arriver dans le parc du Château,  empruntée 2 fois pour les heureux participants du 26km.

Côté météo si le ciel bleu était au RDV au départ de Paris, une brume épaisse s’est installée dans la forêt de Nandy. Nous n’apercevrons pas l’ombre du soleil avant la fin de la course, bref il valait mieux sortir couvert !

A l’arrivée pas de douches, pas de bar, pas de petite restauration....mais une bonne surprise tout de même puisqu’une équipe d’Osthéo propose ses bons et loyaux services.


lundi 14 septembre 2015

Infernal Trail des Vosges - 12/13 sept 2015


 
Récit de Marc Ferrand:

 
 
"Nous partîmes ce samedi matin pour L’infernal trail des Vosges de St Nabord, soit une délégation de 11 natixiens (ou assimilés) : 1 fada sur le 72 km (3000 D+, 265 partants),  6 sur le 33 km (1000 D+, 500 partants) et 4 sur le 12 km (500 D+, 150 partants) avec pour hors d’œuvre une course à obstacle de 8,5 km le samedi soir pour 4 amateurs de bains de boue, le 160 km (7000 D+) partait lui le vendredi, ce qui explique que nous ne nous y soyons pas inscrits (!!) .
La première course du samedi, le 12 km, partie sous une pluie bien soutenue, a permis de prendre la mesure des parcours proposés, sans trop de visibilité sur les paysages malheureusement. Je laisse aux sangliers du 8,5 km le soin de conter leurs aventures du samedi soir car je me trouvais au même moment attablé, concentré sur ma préparation comme jamais, ayant préféré dialoguer avec une tête de veau (et je ne parle pas des personnes qui agrémentaient la tablée !) qu’avec nos amis sangliers.
Après une bonne nuit de récupération du trajet en voiture, c’est le jour J : départ à 9h30 pour 33 km de montées rudes sur un sol meuble de type terre de bruyère, de descentes parfois scabreuses, de passages dans les champs que je n’affectionne pas particulièrement et la chance d’avoir peu de pluie pendant la course.
 Les forêts sont belles, le parcours aussi, même si, comme d’habitude, il est primordial de bien regarder où l’on pose les pieds si l’on veut éviter les ennuis. Après quelques 4 h de course, voilà enfin l’approche de l’arrivée, où mes petits camarades, assis au soleil (si, incroyable !!) m’encouragent pour les derniers mètres, juste le temps d’énerver deux concurrents que je double au sprint (vanité quand tu nous tiens !) et hop, je suis arrivé. Petite récupération au ravitaillement puis attente au soleil des natixiens encore en course, dont le valeureux Didier, parti pour les 72 km à 3h du mat’ et qui arrive en très bonne condition. Au final, je pense avoir bien préparé le marathon de Ljubljana d’octobre, même si les deux types d’effort sont très différents.
Marc"


jeudi 3 septembre 2015

J'ai testé pour vous ... le nouveau GARMIN 225


J’ai testé pour vous le nouveau GARMIN 225 (prise des pulsations au poignet)
par Stéphane Matencio

« Bon mon garmin 610 commençant à donner des signes de fatigue et ne supportant plus la pression de la ceinture sur la poitrine, j'ai pris la nouvelle GARMIN 225. L’intérêt réside dans un capteur au niveau du poignet mais aussi dans un écran synthétique des allures et des zones de FC (entrainement, footing, aérobie, seuil, max).
A peine acheté, je déballe mon joujou, la montre est belle pas trop grosse. La prise en main est simple, la navigation est simple même si elle ne se fait plus via un écran tactile comme j’avais sur la 610 mais via des boutons. Je saute dans mes baskets pour une première sortie.
 
Première sortie de 13 kms et comment dire... je me suis fait peur avec le fameux écran de FC. Alors que j'étais sur un train de sénateur (10,5 - 11 km/h), brutalement je suis monté à 180 bpm (tiens mon coeur va se décrocher ?) puis descente sous les 50 bpm (ah bah ca y est, KO technique) et puis non je vous rassure tout allait pour le mieux. Bon je vais traîner sur quelques forums pour trouver quelques retours d’expérience et en fait c'est de ma faute : non seulement je n'ai pas téléchargé le dernier firmware (la dernière mise à jour pour les non geeks où les digitals detox) mais en plus je n’ai pas assez serré la montre. 

Deuxième sortie : je réessaye avec la 610 au poignet gauche + la ceinture et la 225 au poignet droit (bien serrée) + mises à jour firmware pour vraiment me faire une idée...Et là miracle, disparition des aberrations sur les fréquences cardiaques, corrélation quasi parfaite entre les données de la 225 et de la 610 donc sortie concluante pour se faire une petite idée du joujou.

Les plus :
- Détection cardio et GPS très rapide
- Plus de ceinture sur la poitrine = une liberté de mouvement retrouvée
- L'écran de fréquence cardiaque permet un vrai travail autour des zones cibles et ce d’un coup d’œil (voir image). Lors d’une récente sortie, je devais faire une séance de 1h00 très tranquille mais à jeun et rester dans la zone verte dite aéorobie (120 - 145 bpm), pour ne pas fatiguer, le but de la séance étant de faire de l'affutage. En 1h00 ma fréquence max a été de 147 bpm pour une moyenne à 133 donc contrat rempli.
 

Les moins :
- l'écran n'est pas tactile et quand on a gouté au tactile on ne peut plus s'en passer (comprenne qui pourra J )
- les 2eme et 3eme écran (le 1er étant celui des Fréquences cardiaques) ne permet l'affichage que de 3 données par écran, ce qui est un peu juste par rapport au données techniques que pouvait me donner le 610


Conclusion :
- je vais utiliser la 225 pour mes entraînements afin de travailler plus sérieusement (surtout sur les FC) et sans la contrainte de la ceinture
- je garde mon 610 pour les compétitions (mais sans la ceinture) car elle est tactile et le passage d'un écran à l'autre est plus facile; par ailleurs je pourrais afficher 4 infos techniques par écran

Donc je recommande pour ceux qui ne sont pas encore équipé ou un vieux truc et veulent un bon compromis entre la simplicité et avoir les données essentielles à un bon entraînement.

Pour ceux qui sont déjà équipé en 6xx ou plus, peut-être attendre la déclinaison en 625 ou x25 qui permettra d’avoir le meilleur des 2 mondes : données techniques étendues, écran tactile, prise de pulse au poignet.

J’allais oublier le prix : 299 € »

mardi 30 juin 2015

Trail des Ardennes (93km) par Samuel

Samuel Gotto y était et il raconte son périple !

"C’était une bien belle course !
J’avoue être fort agréablement surpris par les paysages : je m’attendais à courir 93km dans des bois sombres, traverser des villages un peu glauques, et voire même croiser quelques poilus…

 
Il n’en fut rien : les bois et forêts sont très variés (pins, sapins, fougères, pierriers…), bien entretenus et propres, tout comme les tombes et stèles en hommage aux valeureux combattants des 2 grandes guerres !
Les villages ne respirent pas la richesse mais sont très « bucoliques » et typiques. Bref, charmants à l’image des 250 bénévoles qui se sont mis en 4 pour nous !
D’un point de vue sportif, la nuit sous la tente fut bonne malgré un gros orage entre 2 et 3h du matin.
Nous avons pris le départ à 5h entourés de bénévoles formant une haie, nous éclairant à l’aide de flambeaux et au son d’une cornemuse…
Malgré l’heure matinale, il faisait déjà une chaleur très moite dans les sous-bois.
Les 30 premiers km se sont plutôt bien passés, on est parti sur un bon rythme (peut-être un peu vite) et on s’est bien appliqué dans les relances mais on a accusé un gros coup de mou sur 15 bornes (c’est long…).
Il faut dire que les côtes sont raides, pas forcément longues (entre 15 et 40’ d’ascension maximum) mais nombreuses !
On s’est jeté sur l’eau au ravito du 40km (1l en 3’) ce qui m’a fortement ballonné le ventre et donné des points de côté…
 
Je pense qu’on a mal géré l’alimentation : pour rappel les ravitos ne servaient que de l’eau et uniquement de l’eau (pas de café, pas de coca, pas d’eau gazeuse, je peux vous dire que cela fait une petite différence) aussi on s’est forcé à manger du sucré et du salé à chaque fois, et c’était peut-être trop…
La côte appelé « petite Madagascar » est impressionnante : un mur tout droit d’une longueur de 400m pour un dénivelé de 200m fut parcouru en 12’…. On est loin des chronos sur piste !
 
Arrivé au ravito du 54km, nous bénéficions d’un sac d’allégement dans lequel j’ai mis du change (chaussettes et t-shirt) et un Tupperware de pâtes. Je crois qu’on était les seuls à ne pas avoir mis de canette de coca et/ou de St Yorre et mon regard en disait long ! 
Après 30’ de pause on a pu retrouver et garder du rythme mais il faut dire que la seconde partie est moins technique ce qui nous a permis de courir un peu plus et un peu plus vite (je vous rassure, sur du plat on frôlait le 11km/h…).
Le faible nombre de participants (236 partants) nous assure de longs moments seuls dans les bois ce qui est très agréable (il faut juste faire attention au balisage).

 
Néanmoins, le fait de n’avoir personne en ligne de mire ne nous amène pas à forcer l’allure et nous motive guère…
Tout du long de la course notre classement a évolué autour de la 30ème place, on a juste «ramassé » sur les 10 derniers km 3 ou 4 personnes à l’agonie dont la 1ère féminine!
A à 500m de l’arrivée on traverse la Meuse : 80m dans l’eau à mi-cuisse, c’est un vrai régal et un soulagement musculaire, une très bonne idée…
Du coup, on fait un super classement (ce qui me surprend un peu : le niveau ne devait pas être top) et un bon chrono (on visait moins de 17h).
Il y a eu un peu plus de 40% d’abandon dû à la chaleur… Certes il faisait chaud (normal : on est quand même fin juin) mais on n’était rarement exposé au soleil.
Ceci dit le parcours est dur, exigeant, les cuisses et mollets en ont pour leurs frais…
Une fois n’est pas coutume, j’ai profité d’une séance de kiné d’1/2h pour un bon massage puis d’une séance d’osthéo de 45’ (les Ardennes possèdent de belles bénévoles…) qui ont puisé le peu d’énergie qu’il me restait (juste de quoi pouvoir boire 2 bières) !
 
 
C’est une bien belle course, qui nous fait découvrir un bel endroit ! "
 

lundi 29 juin 2015

Oxytrail - 28/06/2015

beaucoup d'adhérents inscrits sur une des 2 distances de l'OxyTrail; le récit de Laurent Caraux :


 

"L’Oxy’Trail 23 part du parc de Noisiel pour descendre sur les bords de Marne, tout en discutant avec un Maurice fort sympathique (cf photo). On passe ensuite dans le parc du château de Champs-sur-Marne et ses beaux jardins. Un peu de sous-bois dans le Bois de Grace et de la route pour passer devant l’Université Paris-Est Marne-la-Vallée, et d’autres bâtiments remarquables : Copernic, Rabelais, Lavoisier…  On contourne ensuite l’étang de la Haute Maison, premier d’une longue série puis le parc du Luzard et le bois de la Grange pour retrouver un peu d’ombre. Un long passage de bitume avant la montée des marches du parc du Segrais offrant un pano sur  le Val Maubuée. On longe alors 5 étangs pour arriver dans un autre parc avec un  amphithéâtre bleu ... et quelques marches à gravir. On redescend après le long de la Marne. En s’approchant de l’arrivée, un Nième pont nous permet de voir la chocolaterie Menier puis une passerelle nous donne accès à l’une des îles de la Marne, et on passe devant un barrage. On remonte enfin vers le point de départ, le parc de Noisiel. En résumé, un parcours pas très difficile, plutôt une course nature avec pas mal de bitume. La difficulté aura été la chaleur, mon ennemie jurée. Une organisation bien calée mais avec un carton rouge cependant pour l’eau qui aura manquer dès le 1er ravito à notre “niveau”. Pour une course en ville courue un midi de fin juin, pas terrible...  

la petite vidéo : http://youtu.be/_b9B1SSWC4s"

Notre Maurice National, également engagé sur le 23km

mercredi 24 juin 2015

Transbaie du 14/06 - le récit


compte rendu de la Transbaie, course évènement organisée par votre bureau préféré

"Comment courir autrement que sur du bitume, sur piste ou sur des sentiers en sous-bois ? La Transbaie (traversée de la baie de Somme) propose une alternative, à mi-chemin entre une course sur sable et un Mud Day !!! C’est à la fois, fun et sportif, mais surtout animé, festif et cure de boue à volonté. Des jeunes mariés , avec une robe blanche (au départ), des Viking chevelus, des hommes de Cro-Magnon et des baigneurs vêtus de maillots entiers rayés des années 30, se vautrent dans la vase avec le sourire, les hurlements des coureurs et les clameurs de satisfaction du public. Dans cet univers gras, boueux et humide, la solidarité est primordiale (assistance pour sortir des grevasses ou gravir les murets de boue, recherche de basket bloqué dans la vase…), l’endurance est nécessaire pour maintenir la cadence et le chrono finalement importe peu. La traversée des cours d’eau, jusqu’à la taille, les sauts par-dessus les crevasses (lorsqu’on ne tombe pas) freinent inévitablement l’allure, mais les villes du Crotoy (mi-course) et de Saint-Valéry (arrivée) restant dans la mire, permettent de se dire que la fin est proche…
 
Au final, 18km de torture mais aussi d’amusement et de satisfaction, pour nos 10 coureurs de l’USN. Un grand merci à notre GO de la section qui a préparé avec succès cet agréable WE… La prochaine fois, il faudrait qu’il arrive à commander du beau temps."
photos à suivre !

mardi 16 juin 2015

10 km l'équipe - 14/06/2015

Récit de Patrice Viale, sur le 10 km l'équipe

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"Le 10Km de l’Equipe, c’est le plus grand 10km de France avec 21 000 inscrits pour cette 5ème édition soit 2 coureurs par mètre (sic).

Ça fait du monde ! ET ça se voit aussi bien par l’occupation du Boulevard Sébastopol que lors de course où j’ai eu un peu de mal à inscrire mon rythme sur les 4 premiers kilomètres. Mais globalement, les coureurs étaient dans le rythme de leurs sas.

Organisation bien huilée (ASO power) avec 7 sas de départ avec un départ échelonné toutes les 5 minutes.
Du beau temps avec des zones à l’ombre. Pas trop chaud, juste ce qu’il faut pour ne pas souffrir de la chaleur.
J’étais dans le sas moins de 42 min avec Stéphane Bardelot et Willy Losat (externe) dit Beep-Beep (j’ai à peine eu le temps de le voir partir au top départ qu’il terminait la boucle en 36 minutes et des poussières).

Autres coureurs de la section : Alexandrino Fortes Dos Santos, Gaétan Montels (sas -48 min), Marc Ferrand et Dominique Bœuf (sas -55 min).

Beau parcours roulant jusqu’au 4ème où les difficultés commencent avec la fameuse montée de Daumesnil pour rejoindre la place Félix Eboué.

Mais suivi d’une belle descente pour récupérer un peu où se trouve le ravito au 5ème  kil.
Et c’est là où on attaque le plus dur. La fatigue commence à arriver et avec pas mal de long faux plat montant dès le kilomètre 5,5 jusqu’au 7.
La dernière difficulté se trouve au 8ème sur environ 500 mètres pour grimper au Père Lachaise.
Faut serrer les dents car après, c’est une pure descente du kilomètre 8,5 jusqu’à l’arrivée.
Du bonheur pour rattraper un peu du temps perdu même si les jambes n’étaient plus trop là. ;)

L’avantage de cette course est qu’elle passe rapidement.
C’est le plaisir de courir de Paris avec son paysage urbain varié et contrasté (oui je sais c’est une ineptie pour nos amis trailers de parler de paysage urbain :D) et de sortir de parcours monotone organisé en deux boucles.

Une belle course, pas facile et un peu trop de monde mais un beau 10km.
 
Les temps des coureurs de l’US :

-          Dominique Bœuf : 59’25’’
-          Marc Ferrand : 54’49’’
-          Gaétan Montels : 47’11’’
-          Stéphane Bardelot : 41’15’’
-          Alexandrino Fortes Dos Santos : 37’52’’
-          Et moi-même : 39’47’’

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Récit de notre reporter Marc Ferrand
 

"Une de nos amies nous ayant sollicité pour participer à la course par Equipe (4 personnes, temps calculé sur le cumul des perfs), Béatrice et moi avons grossi (surtout Béatrice !! Hou le mufle !!!) le flot des 18152 participants présents en ce beau dimanche 14 juin. J’ai accompagné ces dames durant 4 km avant de prendre mon envol, faisant fumer le macadam de ma foulée supersonique, dérapant dans les virages, déboitant à l’aspiration derrière des concurrents médusés de voir une telle maestria !!! OK, OK, je me calme : bon, j’ai légèrement accéléré après 4 km de course pour rattraper le  meneur d’allure des 55’ qui nous avait pris 600m et que j’ai repris uniquement en fin de course.

Belle organisation, temps idéal, bravo à ma moitié qui a réalisé près d’1h et à mon équipe pour les 4h02 cumulées."

mercredi 10 juin 2015

07/05 : we chargé pour nos adhérents

Au programme le week-end dernier, 4 courses sur lesquelles étaient engagés 5 adhérents


07/06/2015
Nike Women (15 km)

Amira Hajili


07/06/2015
Trail des lavoirs (78)

Nhan Nguyen

 Laurent Caraux


07/06/2015
Foulée d'orgerus (12,5)

Jérome Vinson


07/06/2015
Marathon de Marne et Gondoire CR 42km

Eric Crosnier


Récit de Nhan sur le Trail des lavoirs :


"Temps exceptionnel pour aller courir dans les prés et espaces boisés, mais pas n’importe où : la vallée de Chevreuse avec ses belles forêts de chênes, ses vallons à fort dénivelé, ses singles à travers rochers et fougères et ses parcelles de champs de blé, et enfin ses multiples sites médiévaux et historiques.

Départ donné dans le château de la Madeleine (fort du 12ème siècle), traversée du jardin de l’abbaye du Port-Royal, emprunt du chemin de la Jean Racine, passage dans les carrières de grès, aperçu des lavoirs, des manoirs, et passage dans le domaine du Vaux de Cernay et le long des cascades de l’Yvette. Ce décor enchante la vue, pendant que les jambes et muscles travaillent activement pour arpenter les sentiers vallonnés de cette région. Dommage que cette année, ils sont supprimé le passage devant les châteaux de Dampierre et de Méridon, ainsi que la traversée dans la buse de Choisel (accroupie pour crapahuter dans un tunnel et dans le noir).

 
La particularité de ce trail est qu’il impose une autonomie totale (eau, ravito) sur tout le parcours. Mais après la vague de chaleur de la semaine dernière, ils ont estimé prudent de positionner un ravitaillement à mi-parcours au km16, avec une assistance des secouristes…

Enfin, récompensé par une bière locale après franchissement de la ligne d’arrivée, repos et ravitaillement mérités, allongé sur la pelouse du village sous un beau soleil.
Nhan"






Photos d'Amira sur le Nike Women 15km :




Photo de ma pomme sur le marathon Marne Et Gondoire :