vendredi 7 décembre 2018

Bon plan réparation du mesh de vos chaussures par BigBen


Peut être que tout comme moi vous avez déjà été confrontés à la découverte d'un trou béant dans le mesh de vos Chaussures préférées alors que la semelle est en parfait état ?

Si c'est le cas, ce petit post devrait vous intéresser.

J'ai expérimenté cette technique la veille du week-end de la course des terrils quand j'ai découvert que mes fidèles compagnes de course à pieds étaient coupés au niveau du dessus de la chaussure, sur le pli du coup de pied. Vu la parcours, je me suis dit qu'avec ces chaussures trouées, j'aurais des morceaux de terrils plein les chaussures. Beaucoup trop tard pour emporter une paire de running neuves, j'ai cherché la solution de la dernière chance.

Je me suis donc précipité après le travail dans mon magasin décathlon préféré, direction rayon camping.

Pour moins de 10€, j'ai investi dans cette colle à tissu spécialement conçue pour réparer les toiles de tentes.

L'intervention est simple et efficace. Il suffit de se munir d'un morceau de sparadrap permettant de rapprocher les bords du mesh déchiré. On colle les bords rapprochés par le dessous.

Avec une petite baguette en bois, on applique généreusement la colle sur le morceau de mesh à réparer.

Il suffit de laisser prendre la colle à température ambiante. Le lendemain matin, j'ai retiré le sparadrap et le tissu était bien réparé.

J'ai effectué la course des allumés le lendemain soir avec ces chaussures, puis le trail de 25km que nous avons gagné en équipe.

Environ 3 mois après la réparation, mes chaussures sont en parfait état et continuent à me rendre de précieux services sur les entraînements et autres trails.

J'ai placer le tube de colle dans le congélateur pour allonger la durée de vie de la colle.

Amusez vous bien à réparer vos shoes !

mardi 4 décembre 2018

Run and Bike du Palaiseau (25/11/18)

Récit de Nhan N.


 
"Je confirme que nous sommes bien ancrés dans la saison pluvieuse et fraiche de l’automne. C’est l’occasion de pratiquer le patinage et le moulinage sur terrain gras, à la course à pied et en VTT. On se retrouve sur le campus et le parc de l’école Polytechnique, pour le Run & Bike de Palaiseau, qui nous oblige à alterner périodiquement ces 2 disciplines avec son partenaire (2 coureurs et 1 VTT). Jean-Jacques et moi étions alignés sur le parcours de 16km (3 boucles de 5km). Nos compères, Virginie, Christian et Vincent, étaient positionnés avec leur binôme sur le parcours du 10km.   

 



Jean-Jacques prend le départ par une course à pied de 800m. C’est la condition pour étaler le peloton avant de récupérer le VTT. Ensuite, il me passe le relais pour la course à pied, et prend le VTT. Nous avions établi notre stratégie de course, avec une permutation tous les 300-400m. Sur cette course, on est autorisé à déposer le VTT au sol, avant de se mettre à courir.. son binôme arrive, récupère le VTT et se met à pédaler... et la logique veut que le Vttétiste dépasse le coureur, puis dépose le VTT plus loin, ensuite se met à courir, et cetera… la règle veut également qu’à chaque tour et sur la ligne d’arrivée, les 2 co-équipiers arrivent ensembles. Sur un terrain gras, en pratique, les choses sont plus compliquées, car en VTT, les roues patinent dans la boue. Cela est donc plus compliqué en VTT pour rattraper son coureur et le doubler. Il fallait également avoir de bons crampons sous ses chaussures pour garder un bon rythme de course à pied. Chutes et glissades à gogo sur le parcours, télescopages incontrôlés entre coureurs et VTT. Il fallait rechercher le bon endroit (marre d’eau, débordement dans l’herbe sur le côté, etc..) en VTT pour doubler les coureurs. Mais, Jean-Jacques et moi avions parfaitement géré cette situation, et avions doublé quelques concurrents de course grâce à nos permutations coordonnées et stratégiques. Sur les 2 derniers km, nous avions raccourci nos permutations, tous les 200m, et ce afin d’avoir le maximum de punch pour la course à pied.

 

 
Comme sur un fractionné, nous avions couru à 13km/h de moyenne sur 15km, aidé par le VTT pour la phase de récupération, mais pas si reposant que ça à cause d’un terrain bien gras… Arrivés à la 168 emeplace sur 218, en 1h10min, bien loin derrière les triathlètes de compétition, mais nous étions contents de notre stratégie et gestion de course. R&B bien fun, malgré un temps maussade et pluvieux, et un terrain de jeu bien glissant."
 

 




 

jeudi 22 novembre 2018

Trail de Plaintel (11/11)

récit de Marc F.


"12 km de trail… 900 concurrents sur 3 courses… Mes douleurs… Mon temps perso… Non, non, rien de tout ça n’est important comparé aux émotions que l’on a vécu en équipe à conduire la Joëlette assemblée avec brio (et nous aussi) sur un parcours connu puisque déjà emprunté dans ses grandes longueurs l’année dernière.
 

Tirer, porter et pousser la Joëlette n’a en soit rien de terriblement excitant, tout l’intérêt réside dans le fait qu’elle contenait tout d’abord Ewen (puis Enzo après le changement à mi-parcours), aux anges de pouvoir ainsi emprunter ces chemins, majoritairement en sous-bois, un peu crispé dans les passages scabreux, et de plus en plus démonstratif à mesure que la confiance dans ses destriers s’instaurait.

 

Quelques passages boueux à souhait, un cours d’eau traversé, quelques montées bien raides… Et puis comme une apothéose le passage de la ligne d’arrivée où Lionel avait repris
Ewen que nous avions restitué à sa famille à mi-parcours et le portait sur son dos, Enzo se concentrant sur la ligne d’arrivée pour lever les bras dans un geste de pure victoire.

 

Une émotion largement partagée par tous les poissons-pilotes et copilotes jusque sur le podium où Maurice de Plaintel y alla d’un discours vibrant comme les cloisons du gîte quand il dort.

 

Les années passent et l’émotion reste toujours aussi vive de pouvoir partager et faire participer à cette course ces enfants qui n’ont pas la chance de pouvoir courir comme nous. Un grand moment !!"
 


 

 

mardi 13 novembre 2018

Trail de Plaintel

Récit de notre Monsieur Joëlette : Eric


Il était une fois Natacha, jeune fille de 14 ans belle, intelligente et myopathe. Elle est prisonnière de son petit corps qui se recroqueville chaque jour un peu plus. Ces mains sont deux petites serres qui s’accrochent avec une volonté farouche à son fauteuil car son esprit est, au contraire de son corps qui la trahit, d’une force peu commune. Elle est persuadée qu’un jour un traitement lui permettra de guérir. En attendant, elle attend et voyage par internet interposé hors des quatre murs de sa maison. Un jour, alors que son père et moi courons comme souvent en silence, c’est un homme de peu de mots, il me lâche une phrase dithyrambique ; « mon rêve c’est de pouvoir courir un jour avec ma fille » Voilà ça c’est dit ! je prends ça en pleine poire et ne sais pas quoi répondre à part une stupide banalité du genre : « bah oui ce serait formidable »

Quelque temps plus tard, un reportage sur France 3 me permet d’être un peu plus prolixe. Il s’agit d’un père dont le fils Joël est handicapé moteur qui a inventé une chaise à porteur avec une roue centrale, la joëlette, pour pouvoir emmener son fils faire de la randonnée…

J’appelle Marco, le père de Natacha, lui raconte, on appelle Monsieur Joëlette et quelques mois plus tard on reçoit notre première joëlette. On court avec Natacha partout dans les rues, dans les bois, les gens intrigués nous prennent pour des dingos. Natacha s’éclate, elle crie, chante, nous demande d’aller encore et toujours plus vite, plus loin.

Nous sommes en 2002, GRAND LARGE est né car on ne peut pas garder ce nouveau et magnifique concept pour nous tout seul. D’autant que la joëlette fait des émules, dans le 92 une autre association du même style voit le jour également. Rapidement on participe à des compétitions sur route. Natacha court le semi de Paris puis le marathon de Paris, de Vannes. On va remonter la vallée du Nil en se greffant à une course à étapes de 5 jours avec des athlètes de haut niveau. Natacha est ravie, elle exulte et nous, nous sommes fiers comme Artaban. Puis viennent d’autre courses, en Corse, en Thaïlande, au Laos, au Vietnam avec Natacha puis d’autres jeunes handis avec qui nous partageons des moments de bonheur intenses. Le championnat du monde de joëlette se crée et GRAND LARGE arrive à aligner une année 5 joëlettes parmi la cinquantaine provenant de plusieurs pays…

Il était une fois Gwenaëlle, sa maman nous prévient ; « ne vous inquiétez pas, Gwenaëlle ne communique pas mais moi je sais qu’elle est contente et qu’elle aime beaucoup faire de la joëlette. » Puis lors d’une course à Achères un beau jour ensoleillé de mai, nous passons la ligne d’arrivée avec une Gwenaëlle qui lève les pouces en souriant. C’est juste incroyable, sa mère pleure, Monsieur le maire nous fait monter sur le podium et là encore Gwenaëlle redresse à nouveau ses pouces, c’est la totale, monsieur le maire ne sait plus quoi dire, un silence assourdissant passe puis tout le monde applaudit à tout rompre tandis que toute l’équipe et les gens autour essaient de cacher des larmes derrière leur lunettes de soleil, mon petit cœur explose houlàlà c’est trop fort…

Il était une fois Philippe, autiste mais qui était tellement excité lorsque nous n’allions pas assez vite pour lui en joëlette, qu’il essayait de descendre pour nous aider à pousser. Parfois les ailes des anges sont trop à l’étroit repliées derrière le dos, alors elles s’ouvrent et l’ange s’envole… ailleurs…

Il était une fois Victor, lui c’est le plus jeune et peut-être le plus touchant tellement sa joie est communicative. Jamais fatigué, pourtant les courses en joëlettes ne sont pas juste passives pour les jeunes handis mais Victor n’est jamais rassasié, il est toujours partant, c’est le petit moteur de GRAND LARGE, tant que la ligne d’arrivée n’est pas franchie il nous pousse à toujours aller au bout de nous même…

Il était une fois Ewen et Enzo à Plaintel, le dimanche 11/11/2018. Le village natal de Maurice organise un trail Breton, c’est-à-dire qu’il fait beau plusieurs fois par course…

Depuis plusieurs années, Maurice se débrouille pour faire venir plusieurs coureurs de l’US participer à cet événement au profit de l’association Camille & Lucas qui lutte en faveur de la recherche contre les maladies génétiques rares. Et depuis deux ans l’US aligne une équipe pour emmener 2 jeunes handis de Plaintel en joëlette sur le parcours de 12km. Bien allez GOGOGO Maurice on y va cette année encore donc…

J’avoue que je suis un peu fébrile et c’est un euphémisme, je n’ai pas dormi de la nuit, car même si je connais la valeur des guerriers-coureurs qui m’accompagnent, nous ne sommes que 5 à se relayer sur un terrain gras et accidenté et 2 sur les 5 sont novices sur la conduite de l’engin qui pèse quelques 20kg.

Mes doutes seront rapidement dissipés. C’est un vrai plaisir partagé par tous de s’aligner au départ à 10h00 sous un temps plutôt clément pour la saison. Lionel, Marc, Cyril, Jean-Luc et moi-même sommes heureux d’accueillir Ewen que nous allons emmener sur les 6 premiers km pour qu’ensuite, au ravitaillement, Enzo prenne le relais d’Ewen… Anne, Sophie et Maurice vont faire les serres files avec Brio (ne me demandez pas si c’est le nom du vrai serre file svp)

Nous partons 2’ avant le départ réel de la course ce qui donne l’occasion au flot de coureurs, qui a tôt fait de nous dépasser, de nous encourager de belle façon pour le plus grand plaisir d’Ewen mais aussi des 5 autres.

Ewen découvre la joëlette et avec une timidité touchante nous dira au ravito qu’il a beaucoup aimé même s’il est très fatigué. Il faut savoir que toutes les personnes qui font de la joëlette sont à chaque fois au moins aussi fatiguées que les coureurs qui les accompagnent. Enzo quant à lui à déjà participé avec nous l’année dernière et il s’exprime de façon plutôt véhémente, il nous flatte l’encolure comme un jockey ferait avec sa monture à grands coups de ALLEZ ALLEZ. Bon peut-être que le fait que Marc hennisse de façon très réaliste y est aussi pour quelque chose…

La seconde partie pourtant plus roulante nous obligera à s’arrêter plusieurs fois pour réparation du cale pied que la tonicité D’Enzo et les différents aléas du terrain auront mis à mal.

Le final se fait juste au moment même où une énorme averse tente de nous rattraper mais voilà : ça c’est fait et bien fait, nous sommes tous heureux radieux contents fiers…

Le podium sera l’occasion pour Maurice d’y aller de son petit discours non sans que ses yeux soient légèrement embués et sa voix quelque peu voilée, par une poussière sans doute.

Je vous joins une photo très représentative (ou presque) de notre week-end. Bizàtous,


Eric.

jeudi 1 novembre 2018

Je viendrai courir mon 1er semi du côté d'Amsterdam...


20 octobre, le jour du départ pour notre week-end international annuel tant attendu chaque année. 45 adhérents ont la chance d’y participer cette année, pour le plus grand plaisir du burô.

Quelques heures de Thalys, direction Amsterdam, la ville de toutes les envies : gouda, Heineken... et j’en passe !

 
Installation dans un hôtel plutôt bien choisi (oui oui 😁 ), retrait des dossards après une longue marche qui nous a donné envie de ne surtout pas faire le retour à pieds! Bah oui, faut s’économiser pour le lendemain hein 😲

On maintient notre préparation avec quelques bières au Guinness puis un repas qui fait office de pasta party à l’hôtel.


Un bon gros dodo et le grand jour arrive enfin.
 

Les marathoniens et les coureuses (eh oui girl power !) du 8km se lèvent aux aurores pour un départ vers 9h30 pour le 42,195 puis vers 10h40 pour le 8.

 
En bas de l’hôtel, nous (ceux du 21km) attendons nos runners qui passent devant l’hôtel au km 4.

Ça défile et ça court vite ! Après des photos et encouragements dignes de ce nom, petit dej et préparation pour notre semi qui doit démarrer à 13h30.


 
Arrivés au stade, on se met dans les starting-blocks. Les plus rapides se placent dans le sas qui va bien et avec Fabienne, Nathalie, Dominique, Marie Laure, Hassan et Cyril, on reste un peu en retrait.



La ligne d’arrivée approche et nous voilà partis, parmi environ 20 000 runners fous.

Objectif fixé avec Fabienne : 2h20 soit 9km/h de moyenne.

On part un peu au-dessus, Fabienne me ralentit un peu mais je me sens bien. On laisse partir Nathalie qui en a sous le pied !

 
Et nous voilà toutes les deux. Drivée par ma coach Fabienne, les premiers km passent bien : 9km, 10km, 11km, 12km... bon ça commence à faire long...

Ah oui je vous ai pas dit ? C’est mon premier semi 😱

Bon on y retourne. 13km, 14km... ça tire... Fabienne est bien, elle nous prend en photo, me drive, et envoie même un message vocal sur le groupe car on arrive bientôt au niveau de l’hôtel et j’ai vraiment besoin d’encouragements.

 
En fait on n’était pas si près de l’hôtel... c’est dur mais je tiens. Le souffle et les jambes se font sentir. Enfin l’hôtel et quelques supporters de Natixis !! Du coup, hop on se redresse, grand sourire genre « ouais tout va bien !»

Une fois l’hôtel dépassé, Fabienne me dit « on se reprend, on a accéléré devant eux maintenant on se calme"  Ok chef ! De toutes les manières, j’en peux plus !!! 😱

On rentre dans le parc et à partir de là je suis au bout de ma vie : qu’est-ce que je fais là ?? pourquoi j’ai pas fait le 8 !!! je ferai plus jamais de semi !!!

Mais ma coach est là, m’encourage, me soutient, trouve les mots... je m’accroche comme je peux. Sortie du parc, mais il est où le stade ???!!!! Je me sens complètement vidée, comme si j’avais un trou noir dans le corps.

Je dis à Fabienne « vas y, pars devant »  "NON" me répond-elle, « j’ai couru avec toi tout du long, je te lâche pas alors t’accroches ! »

Dernier ravitaillement, j’ai soif, mais encore un non de ma coach « si tu t’arrêtes tu repars pas, tu boiras à l’arrivée ». Bah oui elle a raison 😭😭😭

Enfin le stade « regarde Anne, on y est !! Allez on s’accroche ».
Puis la ligne d’arrivée, main dans la main. J’ai envie de pleurer (même en écrivant la tout de suite 😢).
 
Ça y est c’est fait ! 21km dont 4 de vraie souffrance... mais objectif dépassé : 2h18. Je suis fière, j’avoue et tout ça c’est grâce a ma coach du tonnerre.

Un grand grand merci à Fabienne 💜

Spéciale dédicace aussi à ma fusée qui termine son premier semi en 1h47 👏🏻👏🏻👏🏻
 
Voilà, je me souviendrai de ce 1er semi, de ce super weekend avec des runners toujours aussi fous, toujours aussi drôles et avec lesquels on vraiment hâte de repartir pour de nouvelles aventures :)💓💓💓


Amsterdam par Isabelle


Bon voilà , 1er séjour pour ma part avec la sortie internationale avec l'US Natixis.

Ayant déjà fait le challenge BPCE où l'ambiance ressemblait à une colonie de vacances.

là, on va dire que c'est une classe découverte car l'ambiance , l’organisation était extra.

 Nous sommes partis samedi 20 octobre 2018 à 7h du matin - un groupe de 45 personnes où le drapeau de Natixis flottait en arrivant à Amsterdam.

L'après -midi , ballade dans le parc pour récupérer le dossard .
pour moi, 8 km ça ira très bien ...

Le soir , pastas party à l'hotel et dodo car le lendemain , grosse journée sportive.

42 km-21 km-8 km : y en a pour tout le monde.

Le dimanche, une super ambiance au stade, à l'arrivée , on se sent comme une star .

Mon grand plaisir : courir devant notre hôtel et être encouragée par les copains.

Evidemment, j'avais une belle foulée et un beau sourire ... oui oui c'est la photo 

merci à eux tous .


 

Le soir, un resto sympa où la bière coulait à flots ... euh était à volonté ...puis on a écouté les chansons préparées par les différents groupes .

Je peux dire il y en a ils pourraient aller à l'émission "the voice"

 
lundi: ballade en ville , achats de goudas , ....

L'après -midi 4 h de vélo en pleine campagne -apaisant, relaxant, ... et fatiguant .
Le soir, resto argentin pour ceux qui voulaient.

mardi : quartier libre.. oui quartier libre ...pas quartier rouge .

Je n'oublie pas  le pub GUINNESS- le QG du groupe.

 
Bref, week- end de folie , sportive, des gens extras et surtout merci au bureau pour toute cette organisation, vous avez pensé à tout et à tout le monde.

Fière d'être de l'US Natixis car même avec mes petits 8 km : j'ai eu les félicitations de la part de tout le monde .. quel bon esprit !!! 

 et vivement la prochaine sortie.

mercredi 31 octobre 2018

Sortie Internationale de l'USN : marathon d'Amsterdam (21/10) ... la suite

Récit de Domohina

 
"Sur le port d'Amsterdam… Comme le chantait Brel.

Mais c'est sur les quais de la Gare du Nord, ce samedi matin d'octobre à 6h40 que nous avons rdv. Les yeux sont tous petits, les bâillements sont légions mais quel plaisir de retrouver la section athlé après des semaines d'absence pour ma part.
 
Saison 2 des Sorties internationales pour ma part, je retrouve les copains/ines de l'an dernier, les habitués et des nouvelles têtes. Trois heures de TGV devant nous pour rallier les Pays-Bas : une poignée parvient à trouver les bras de Morphée pendant que tous les autres parcourent gaiement le wagon à papoter. A tel point que les agents viennent nous rappeler à l'ordre pour baisser d'un ton haha : la colo Nxs qui part en week-end se fait déjà remarquer !

L'arrivée à Amsterdam se fait sans encombre. A la quasi-unanimité, ou pas, nous voilà en chemin pour l'hôtel, à 3-4 km de la Gare, pas évident de tirer les valises sur les pavés, de se frayer un chemin entre les passants et de garder le groupe rassemblé. L'hôtel est impeccable, près d'un canal, à proximité de tous les spots sympas de la ville : on est biiiien, le Bureau nous a gâtés !  
 
L'après-midi, nous filons, à pied cela va sans dire, vers l’Olympic Stadium pour récupérer les dossards. Une bonne heure de marche dans le parc Vondelpark et nous y voilà.
On retrouve l'euphorie de la zone de course et on croise des groupes de compatriotes français.

Je récupère mon dossard, inscrite initialement sur le Semi, je prends finalement le départ du 8km, faute de retour de blessure au genou. Certains regagneront l'hôtel à pied (ben c'est un week-end de sportifs ou ….?) pendant que d'autres optent pour le métro. Le soir, le Bureau nous régale d'une Pasta party à l'hôtel et nous voilà repus pour dimanche matin.
 
J'avais oublié ce qu'était le réveil dominical pour prendre le départ d'une course "euh pourquoi je suis là déjà ??" mais un passage par la case buffet petit déjeuner me permet de croiser les runners/runneuses du Marathon et mes copines du 8km : pile ce qu'il faut pour me motiver ! Nous prenons le départ en groupe pour le métro. La rame est aussi remplie que le métro 13 à 8h30 en semaine : on fait un remake de la boîte de sardines entre runners excités et on réussit tant bien que mal à se faufiler dans le wagon, à (gentils) coups de coude et d'épaules, une station plus tard nous y voilà.
 
 



Le groupe des marathoniens/nnes se rend dans l’Olympic Stadium pour le départ tandis qu'avec la Dream team (rien que ça) du 8km nous prenons place dans les gradins pour voir le départ. Quelle ambiance et quelle foule, ils sont tellement de fous à s'élancer sur 42km :) Le speaker hurle dans les enceintes, la musique bat son plein et on agite nos bras comme on peut depuis les gradins pour se faire remarquer par les marathoniens/nnes : ouf ils nous aperçoivent et nous saluent aussi !
 

 Il est temps de se rendre sur le 8km. Notre reporter photo improvisé, Patrice, parvient à capturer l'instant : Estelle, Emmanuelle, Béatrice, Marie-Pierre, Isabelle, moi et Fabienne, alignées et prêtes à en découdre.
 
Le départ est donné et on s'élance chacune de notre côté. Pas évident de trouver un rythme pour moi qui ne cours plus du tout régulièrement, il me faut bien 15 minutes pour m'installer dans la course. Je zigzague et je peine à trouver un rythme qui me convient : heureusement que la traversée du Vondelpark en 1re partie du parcours est un vrai bol d'air. Et à la sortie du parc, c'est le super bonus motivation : les camarades de la section qui m'encouragent à pleins poumons, sourient et me tendent la main pour la taper. Haha c'est tellement mieux qu'un splif pour se requinquer et tenir encore l'autre moitié du parcours ! Je termine la course comme je peux et je retrouve les copines pour se féliciter mutuellement.

 La journée de dimanche défile à toute vitesse, notamment avec les Semi-marathoniens/nes qui courent l'après-midi.
 
Le lundi aprem, week-end de sportifs oblige, on enfourche des vélos hollandais pour parcourir 25km dans la campagne de la capitale ! De jolis paysages et de sacrés fous rires : on retiendra qu'il ne faut pas laisser son vélo à côté de ceux qui n'ont pas compris comment le faire tenir debout (je ne cite personne !).

 

 
Le reste du séjour, je vais bien me garder de le conter : ce qui se passe à Amsterdam…reste sur le Port d'Amsterdam !

Pour celles et ceux qui hésitent encore, soyez au rendez-vous pour la sortie internationale 2019.
 Un grand merci et un énorme cœur pour le Bureau de la section, l'organisation était parfaite, on a pris énormément de plaisir à se retrouver et ces 4 jours ont défilé bien trop vite. Mais c'est aussi le jeu lorsque l'on est en si bonne compagnie ;)"
 
 


lundi 29 octobre 2018

Sortie Internationale de l'USN : marathon d'Amsterdam (21/10)

Récit de Marc F :


"Dans le port d’Amsterdam j’irai noyer mon drame, oublier s’marathon qu’j’ai couru comme un plomb (y avait d’autres rimes mais bon…) Un petit groupe de 45 participants estampillés Natixis pour ce déplacement dans ce plat pays qui n’était pas le sien, avec 17 marathoniens, à peu près autant de semi-marathoniens et nos flèches du 8 km. Une fois n’est pas coutume, je vais commencer par les remerciements : je remercie ma maman pour tout ce qu’elle… euh pardon, je remercie solennellement nos organisateurs de l’US qui, une fois de plus, se sont décarcassés pour nous loger, nous guider, nous choisir un super resto d’après course, nous organiser une découverte des environs d’Amsterdam à vélo après la course et nous faire partager leur enthousiasme de runner (et plus encore !). Place à la course en ce dimanche 21 octobre : plus de 12000 participants sur le marathon, plus de 15000 sur le semi, et près de 5000 sur le 8 km, un vrai gros événement que cette manifestation sportive !!! Parti sur le marathon à 9h30 d’un Stade Olympique dont la piste était pleine à craquer, je m’étais donné comme objectif de courir 20 minutes puis de marcher 1 minutes autant de fois que nécessaire pour rallier la ligne d’arrivée… La ligne je l’ai bien ralliée mais il y a eu un léger contretemps au niveau de la programmation de mes séries de walk and run. Dès le semi, j’ai senti que je n’avais pas entièrement récupéré de mes efforts du mois précédent à Belle-Ile. Je me doutais du truc mais pas que ça arriverait dès le semi et là, comment disait Supertramp « it’s a long road » !! Mais bon, étant du signe du Fox terrier, la caboche a tenu, aidé dès le semi par la compagnie inattendue de Nina avec qui j’ai pu effectuer une véritable course d’escargots (et pas seulement parce qu’on en a bavé !!). Les longues lignes droites de la fin de parcours sont sans doute propices à de très bons temps pour les champions, mais elles semblent interminables quand on est au ralenti. J’ai préféré de loin la 2nde partie de journée en compagnie de tous les coureurs, autour de boissons pétillantes (ou pas) et de très bons mets. Super ambiance pour ce repas du soir, agrémenté des épreuves imaginées par nos GO. Merci, merci, merci et bravo à tous les coureurs et coureuses !!! "








vendredi 12 octobre 2018

Oxfam Trailwalker par Sebastien Espinasse


Salut les membres de la Section Athlé US NATIXIS!

Cette année, nous visons BIG avec deux équipes qui s'aligneront sur la OXFAM TRAILWALKER le 16 novembre 2018!

Il s’agit d’une course de 100 km qui suit le sentier Maclehose à Hong Kong, où les participants s'affrontent par équipes de 4 personnes (les 4 sur 100 km).

 En tant que coureurs et collègues, nous avons décidé de faire partie de cet événement sportif majeur. Nous pensons qu'il s'agit d'une occasion unique de tester nos limites, de vivre une incroyable aventure humaine et de donner l'exemple, au-delà des mots, du travail d'équipe. Et avec des équipes composées de collègues de Hong Kong, Singapour et Tokyo, nous pouvons affirmer à juste titre que nous avons deux équipes véritablement internationales.

C’est également l’un des plus grands événements sportifs de collecte de fonds à Hong Kong, avec 6 000 participants chaque année, et une bonne occasion de soutenir la lutte contre la pauvreté. OXFAM mène avec succès des projets de réduction de la pauvreté et de secours d’urgence en Afrique et en Asie, notamment à Hong Kong et en Chine continentale.

Nous nous sommes fixé l'objectif ambitieux de collecter 72 000 HKD par équipe.

Des millions de personnes ont toujours besoin de notre & votre aide. Nous sollicitons donc votre généreuse aide en cliquant sur le lien ci-dessous.

Support >>> Natixis Beyond Running <<< ou >>> Natixis Beyond Walking <<< pour faire la différence!











Sebastien | Miyuki | Ly Tign | Benjamin



Harrisson | Salle | Walid


Toutes les informations sur la course sont disponibles à l'adresse https://www.oxfamtrailwalker.fr/fr/

vendredi 5 octobre 2018

Charentonnaise Entreprise 04/10/18


La 12 ème édition de la Charentonnaise Entreprise vient de se terminer en ce jeudi midi estival ! près de 1.100 coureurs et marcheurs des entreprises ou administrations Charentonnaise se sont retrouvés au vélodrome de la Cipale et autour du lac Daumesnil pour célébrer le sport en entreprise et pour soutenir la fondation ARSEP qui lutte contre la sclérose en plaque.


Natixis était très bien représenté avec plus de 400 collaborateurs ayant répondu présents sur cet évènement, organisé conjointement avec l’Union Sportive Natixis et le Crédit Foncier. A noter une belle moisson de podium pour Natixis sur les différentes distances du 7,1km en solo et relais, du 3,5 km solo et en duo !
La marche, marche nordique et course handisport complétaient également les épreuves proposées sur cette édition ! une belle réussite cette année encore !

mardi 2 octobre 2018

Course des Terrils (29/30 septembre 2018)

Récit de Fred M.


Tout in haut de ch’Terrils - chronique d’une victoire annoncée - Acte 3

29/09 Le Matin : Charenton – Valenciennes

Le premier objectif du week-end : arriver à l’Estaminet pour un léger repas (welsh, flamiche aux maroilles, fricadelle…) avant le second objectif, la course du soir : « Les allumés ». Comme à l’habitude, un voyage en convoi rondement mené avec nos pilotes favoris, Lionel et Bruno.  Voyage ponctué par la créativité de notre cher burôôôôh (pardon : la Jenlain) produire une chanson en 2h et chanter notre œuvre à l’Estaminet. En résumé, ambiance festive et passionnée avec digestion aléatoire. Direction retrait des dossards et préparation pour la course du jour ou plutôt de la nuit.




29/09 Le soir :  La course « Les allumés » : 9km.

Belle course nocturne avec ambiance locale au départ. Parcours agrémenté d’un Terril pour la mise en jambe des courses du lendemain. Nos 15 « Allumés » font chauffer les frontales. Top départ ! Allure modérée sur un terrain roulant, passage du terril et course terminée par certains « Allumés » à 3’40’’ du km à la frontale. Remarque d’un membre du bureau, dont la première lettre du prénom est « E » et les trois dernières lettres « RIC » : « C’était n’importe quoi ». Laurent, il restait de quoi manger à l’arrivée, ce n’était pas la peine de se presser… Tout le monde se rassemble pour rejoindre l’hôtel, manger et mériter une bonne nuit de sommeil.



30/09 Le matin :  Les courses «L’Authentique » 16km et « La sauvage » 25km.


11 inscrit(es) sur la course du 16km, 3 sur le 25km en solo et le très attendu « Acte 3 » : Le match « Les Jedis des terrils » VS « Les MMA ». Duel pour gagner la gaillette, le précieux de Bruno. Bruno, nous avons tous vus tes yeux révulsés et tes blanches canines acérées à l’idée de ne pas remporter le prix. Quel état pour ramener un caillou fraîchement peint qui sent le mazout…
La course « L’Authentique » : 16km agrémentés de 3 terrils. Les reporters du 25km se positionnent au départ pour photographier les runners en mauve. 10h00, top départ. 5 minutes avant l’horaire prévu. Tant pis pour ceux qui sont à l’heure. On entend des « Allez Armen », « Allez Yoko », « Allez Nathalie », « Allez Luc »… ouppsss, c’était pas le nôtre.
La course « La sauvage » : 25km roulants, ponctués de 5 terrils. Les deux groupes rivaux s’échauffent, se placent en pôle position ou presque. Les autres participants, Fabienne, Didier, Lionel et Virginie sont disséminés parmi les quelques 600 runners. 10h55, les hostilités commencent. Ça part fort, on joue des coudes pour se repositionner auprès de ses coéquipiers. Quelques centaines de mètres parcourus à vive allure sont vite remplacés par l’ascension de la première bosse… en deux mots : on marche. Sitôt passée, Agnès, la remplaçante de Nicolas, prend le lead du duel, Benoît et Fred se calent derrière, se relaient. Bruno, Eric et Laurent suivent.  

Tout le monde se rejoint aux seconds Terril, qu’on gravit à l’aide des mains. La course reprend sur quelques longues portions de lignes droites au travers la forêt du Haineaux ensoleillée pour l’occasion. Agnès reprend le contrôle du duel endiablé, comme on dit d’inch’nord : « Elle envoie du charbon ». Bruno, le possédé, suit quelques centaines de mètres derrières, Il ne lâche rien, il transpire des canines, il considère les runners environnent comme de potentiels ravitaillements, mieux vaut ne pas être à ses côtés, vous l’aurez compris, il est enragé. Eric et Laurent sont aux aguets. Les kilomètres s’enchainent. On avale deux terrines, pardon Terrils, dont un qui surplombe la forêt, le spectacle est magnifique. Les bénévoles annoncent : « 3ième femme », on comprend qu’Agnès est sur le podium. Elle accélère légèrement pour assurer son classement. Les deux groupes adversaires sont proches, le graal, la gaillette, est a porté de foulées. On gravit le dernier Terril, non sans difficulté, la corde peut aider. Derniers segments de lignes droites. A 2km de l’arrivée, Agnès ralentie, une douleur à la hanche oblige à ralentir, nous l’encourageons. Elle se fera reprendre la 3ième place à 300m de l’arrivée. 500m, C’est avec bon esprit que les deux équipes se rejoignent et passent la ligne d’arrivée en 2h05min58s. Bruno est soulagé, il sait qu’il pourra garnir l’allée du jardin avec son cailloux tant convoité, tant mérité et si moche.







L’après course est festive, tant sur le podium que dans les douches, tout le monde se rejoint pour le repas local : la carbonade (du bœuf avec une sauce à base de goudron et des frites). La bière coule à flot. On profite du repas au soleil, gros kiffe avant de repartir pour la capitale.
Remerciement à notre cher burôôôh (sic, pardon). Une organisation sans faille et de la bonne humeur.

A bientôt pour un acte 4.