mercredi 25 octobre 2017

Semi de Vincennes – 22/10/2017

Récit de Marc Ferrand


"C’est c… mais j’aime me lever, même tôt, dans l’optique de participer à une course. On se sent impliqué, concentré (en un mot !), gestionnaire de son corps et de son mental, avec un but sympa et la perspective d’être zen et « endomorphiné » à bloc à l’arrivée.

 
C’est donc pour préparer le marathon de fin novembre à San Sebastian que je m’aligne sur le Semi de Vincennes (4534 inscrits, une dizaine de Natixiens, je n’en ai croisé que 4…) par un temps frais et couvert, idéal à la course malgré quelques bourrasques.

Tout cela fait beaucoup de monde sur l’esplanade du château de Vincennes, et quelques embouteillages en perspective au départ vu la foule qui s’y masse (entasse est moins beau mais surement plus juste !). Départ donné à 10h04 à ma montre, et près de 2 minutes pour franchir la ligne de départ. Un peu bouchonné sur les 2 premiers km, mais ça m’évite de partir trop vite (oui je sais, mon trop vite à moi c’est une récup pour un champion, et encore ;-) !). Le parcours m’est connu puisqu’il recoupe beaucoup de nos lieux d’entrainement dans le bois de Vincennes, avec une majorité de bitume sur le 1er tiers de course. C’est très roulant mais pour ma part je suis en rythme marathon (oui ça m’arrange et alors ?!?!?), ce qui me permet de placer une accélération foudroyante, enfin d’accélérer un peu, sur la deuxième moitié de course. Au final, une bonne course de préparation, sans me mettre dans le rouge et qui m’a permis de faire ma sortie du dimanche avec l’émulation de la participation à une épreuve ! Félicitations aux coureurs de NXS, et spéciale dédicace à nos performeurs !"

Run and Bike de Paris le 22/10

Récit de Nhan Nguyen


 
"Avec un succès grandissant du Run and Bike, Paris a organisé sa 4ème manifestation, au pied de la Tour Eiffel et sur les berges de la seine entre les ponts de l’Alma et de Garigliano, soit sur 20km en 2 boucles (pour ceux qui n’ont pas eu le temps de contempler la Tour Eiffel lors du 1er passage), soit sur 10km (pour les plus pressés). 

 
Le Run and Bike est une course en binôme qui consiste à enchainer la course à pied et le vélo, avec un seul vélo pour 2 équipiers. Le binôme est libre sur sa stratégie de la course et du moment de permutation sur le vélo. Les seules contrainte sont un départ par la course à pied pour étirer le peloton sur 400m avant de rejoindre son coéquipier à vélo qui ne pourra démarrer qu’à cet instant, et un franchissement de la ligne d’arrivée ensemble, avec les 2 équipiers et le vélo.
 

L’USN a aligné 2 Purple team : Christian et Camille, et Jean-Jacques et moi. Avec JJ, nous avions décidé de permuter tous les 300m, puis tous les 200m sur les 2 derniers KM. Stratégie payante sur ce fractionné court et un temps raisonnable de repos sur le vélo. Au final 43min sur 10km, soit une moyenne de 14,3 km/h.

 

Bonne organisation (balisage, routes fermées, prêt de vélo), bonne animation (musique, applaudissement et encouragement du public), bon ravito et buffet final (pain, large choix de pâté, tomate cerise, cornichon et multiples fruits, le tout pour faire un bon sandwich). Dommage que la température fraiche du moment ne nous a pas permis de profiter d’un pique-nique au grand air sous la tour Eiffel. Seul bémol de cette année, le village de la course est plus petit, et on a perdu le stade de foot et sa pelouse pour se détendre confortablement."

mercredi 18 octobre 2017

Course du Coeur 2018 - c'est reparti !!

 
C'est reparti !! Natixis sera dans la Course du Coeur 2018 !
Pour plus d'info sur cette nouvelle édition, message à eric.Crosnier@natixis.com

Trail du viaduc des Fauvettes (50km – 1 400D+) - Sam prend la plume


"Dans l’optique de candidater au Trail des Ducs de Savoie (la TDS à Chamonix), il nous faut des points.
Quoi de mieux qu’un trail à 1/2h de la maison !
Le trail du viaduc des Fauvettes propose plusieurs formats autour d’une boucle de 17km pour 450D+ : soit 17km, 34, 50 ou 100 bornes !

Après un été arrosé, en dilettante, des séances du mardi et jeudi en mode « j’ai pas envie d’être à fond », il faut que je me fasse une raison et que je me prépare psychologiquement à ce que ce 50 kilomètres va être long... D’autant plus que mon partenaire Benoît est plutôt en forme !
Nous sommes 135 sur la ligne de départ dont un Fortiche de 2013 : Youssef El Gourch !

Nous partons dans les 15 premiers sur un rythme que je trouve assez soutenu.
Mais jusque-là tout va bien : les 7ers kilo sont roulants avec de larges sentiers en forêt, quelques faux plats, la météo clémente et le terrain sec. Néanmoins je ne cesse de m’interroger sur ma présence et la question « mais qu’est-ce que je fous là ? » tourne en rond dans ma tête.

Nous évoluons assez vite au sein d’un gruppetto et je sais pertinament que je ne tiendrais jamais ce rythme sur les 2 prochaines boucles. La seconde partie est davantage technique avec de beaux singles, et 3 bonnes côtes bien raides. Mais le parcours est très sympa !

 
Juste une petite galère avec mon camel back qui fuit au niveau du tuyau, du coup j’ai toute la partie droite du corps complétement trempée… Heureusement j’avais pris une flaque souple avec un peu d’eau car 17km sans ravito et sans eau c’est long !


1h40 pour la 1ère boucle, 1’ d’arrêt au ravito et c’est reparti.
Je me sens un peu mieux et prend le lead sur le plat. On double certains du 34km et de la marche nordique. Les gens sont très sympas, s’encouragent et laissent passer facilement.


Au km30 je commence à fatiguer et les ischios tirent un peu… Normalement je suis plutôt à l’aise en côte car je récupère un peu en marchant mais mon partenaire tient un rythme élevé et les relances deviennent de moins en moins franches…

 
1h45 pour la 2ème boucle, 4’ d’arrêt au ravito et c’est reparti.

Au bout de 2km de plat, je m’arrête pour marcher… J’en ai marre ! Les jambes sont lourdes et j’ai mal aux ischios. Benoît me bouscule un peu « si on commence à marcher sur du plat, on n’est pas arrivé ! ». C’est plus un faux plat montant que du plat… Je me force donc à courir et tenir une certaine allure au moins sur « le plat ». Arrivent les difficultés techniques et il garde presque le même rythme en côte que sur les 2ers passages. « M’en fous je ne relance pas, na ! ».

On reprend 2 gars je ne sais pas comment ! A partir du km40 je vis un calvaire : j’ai vraiment mal aux ischios (Benoît aussi), le souffle court et j’ai mal à la tête. Moins il reste de kilomètre plus je suis dans le dur que ce soit sur le plat ou en côte avec quelques moments la tête qui tourne. Je suis vraiment dans le rouge foncé.


Plus que 2km et Benoît voit un concurrent à 300m devant et un autre un peu plus loin derrière. Du coup il se fixe comme objectif de ne pas être repris mais surtout de rattraper celui de devant ! Personnellement, je m’en fiche complètement et je n’ai plus la lucidité de me préoccuper du classement, qui n’a jamais été un objectif… Au dernier kilomètre la jonction est faite et nous voilà 4 à courir. Je dis à Benoît de filer que je suis vraiment en rupture. A 500m il place une accélération impressionnante que seul le gars de devant tente d’accrocher mais en vain.
1h50 la 3ème boucle…
Au final c’est en 5h19 qu’on boucle ces 50km et je finis en 12ème position sur 135 partant et 96 finishers (9ème pour Benoît).

Que ce fut dur… Ca faisait bien longtemps que je ne m’étais mis dans un état pareil !

 

 

 

lundi 9 octobre 2017

Challenge BPCE - Trail du Cassoulet 8/10/2017


Voici le compte rendu de Christian:
 
"Comme toujours l’organisation et l’ambiance des challenges BPCE étaient au rendez-vous.

320 participants BPCE dont 24 Natixis (cherchez l’intrus(e)) :
 
Acheminement en car sur le lieu de départ (Toulouse-Verfeil à 20 kilomètres).

De nombreux coureurs déguisés donne un air de fête dans le froid et grisaille de début de course.

Les Natixis :
 
 


Les 10 filles sont sur le 14km et les 14 garçons sur le 24km

Un parcours plaisant dans la campagne et les champs, que n’ont cependant rien à envier certaines courses de région parisienne.

Ravitaillement festif à l'orangerie du château de Bonrepos Riquet au 7ème kilomètre.

Un rayon de soleil en fin de course.

Réconfort à l’arrivée avec des bières pression suivi d’un cassoulet

Podium :

·        3e senior féminine pour Sandrine

·        3e challenge entreprise pour Natixis, derrière CEIDF et CEAPC
 
Après-midi repos ou décrassage visite de Toulouse.

Avec Claude Nougaro :
 
 
 


 

Soirée festive dans un bar Toulousain avec grosse ambiance.

Pas de photo J

Merci à tous les participants pour cet excellent séjour et au bureau pour l’organisation impeccable."