vendredi 30 juin 2017

Test matos du 30/06/2017

Ils étaient une dizaine de la section US  Athlé à braver la pluie pour ce premier rendez-vous de tests matériels organisé par notre partenaire Endurance Shop ... 
Au programme de chaussures SALOMON, montres SUNNTO, un sac à dos SALOMON  ...
 

 





 



 

jeudi 29 juin 2017

La Charentonnaise Entreprise (28/09) ...les inscriptions sont lancées


La 11ème édition de la CHARENTONNAISE ENTREPRISES organisée conjointement par l’Association Sportive du Crédit Foncier et la section Athlétisme de l’Union Sportive Natixis aura lieu le jeudi 28 septembre 2017


 
 
 
 
 
L’an dernier, 800 coureurs toutes catégories, toutes distances, ont relevé le défi. Pour cette 11ème édition, nous comptons sur vous pour partager à nouveau des moments forts !
Chacun pourra pratiquer la course ou la marche, seul ou en duo, avec cette année une épreuve spéciale destinée à ouvrir le parcours aux personnes à mobilité réduite.
 6 formats de course sont proposés :
·         7.111 m en course individuelle
·         3.554 m en course individuelle
·         3.554 m en course en duo
·         3.554 m à la marche
·         3.554 m en marche nordique
·         3.554 m Handisport (nouveau cette année !!)
Le départ de toutes les épreuves sera donné au Stade de la Cipale - Bois de Vincennes à 12h30.
Le RDV sera fixé à 12h00 à la Cipale pour la distribution des dossards sur le stand NATIXIS.
Les inscriptions sont ouvertes à tout le monde (internes, externes ou filiales)
Pour vous inscrire (avant le 12 septembre 2017 soir) :
 - Indiquez vos noms/ prénoms / date de naissance et distance choisie
-  Fournissez un certificat médical valable au 28/09/2017 avec mention « course à pied en compétition », le tout à renvoyer à la BAL USNATIXIS-BUREAU-ATHLETISME usnatixis-bureau-athletisme@natixis.com (sauf pour les épreuves de marche et marche nordique)
-          Etablissez un chèque de 10€ à l’ordre de l’ASCFF à envoyer à Lionel Paysant Y2E4062 Liberté 2
 Pour ceux dont l’inscription aura été gérée via la section Athlétisme de l’US Natixis, vous pourrez bénéficier non seulement du cadeau surprise de la course mais également d’un tee-shirt technique financé par l’US Natixis.
Vous pourrez bénéficier exceptionnellement d’un accès libre aux vestiaires et douches des bâtiments de Charenton. Des vestiaires seront également disponibles à la Cipale.
La course se déroulant sur l’heure du déjeuner, les personnes inscrites via la section Athlétisme de l’US Natixis bénéficieront également d’un ravitaillement final financé par le Comité d’Entreprise
 Participer à cet événement c’est l’occasion de faire la course en équipe avec ses collègues dans un esprit de partage ou de challenge selon goûts.
Entre collègues, lancez-vous dans l’aventure d’une course accessible à tous. C’est bon pour la santé et également pour le Team-building !
Participer à ces épreuves, contribue non seulement à la valorisation du sport en entreprise, mais manifeste aussi sa solidarité envers des œuvres caritatives. Les éditions précédentes ont ainsi permis de collecter des fonds au bénéfice des associations telles que Handy’chiens, Tino, Maïsha Africa, Coup de Pouce Humanitaire, Aides aux jeunes diabétiques, Laurette Fugain …
Cette année, une partie des sommes récoltées sera reversée à la Fondation ARSEP (recherche sur la sclérose en plaque)

mercredi 28 juin 2017

L'Oxytrail (77) le 25/06/2017

Retour sur l'Oxytrail par Nhan N.
La section de l’USN Athlétisle a aligné une dizaine de participants sur les lignes de départ des 3 parcours proposés 5, 13 et 23km.



 "Sans grande prétention, ce petit trail de la région parisienne permet de découvrir le running en forêt, en bordure des lacs, et sur tout type de terrain. Loin des grands dénivelés et précipices alpins, ses 200m de D+ imposent un rythme de course constant sur ses 23km. Mais, dans la pratique et sous un soleil de plomb en découvert sur les 5 derniers km, mon rythme a considérablement baissé. En tout cas, un trail remarquable quant à son organisation (balises, 5 ravitos bien garnis, beaucoup de musiciens et de style à divers endroits, tambours, cornemuse, guitare, rock, etc...) et à son sympathique tracé alternant les passages dans le charmant parc du chateau de Champs sur Marne, les bases nautiques de Noisel et de Vayres, le long de la Marne et les traversés de villages. En prime, quelques passages pour corser l’affaire : une montée des marches d’un théâtre extérieur et une douce grimpette mais en continue sur les 2 derniers kilos.


Enfin, une belle et grande pelouse à l’arrivée permettent de se relaxer... pour pique-niquer et pour faire la sieste. Une cryothérapie (bain froide) est même proposée, mais il fallait arriver parmi les premiers pour bénéficier de la température optimale, pour cette baignade des mollets."
 
 

lundi 26 juin 2017

Le Verdon Canyon Challenge par Nicolas M (24/06/2017)

Retour sur le trail du Verdon Canyon Challenge par Nicolas M.
"Comme pour les Orphelins Baudelaire, j’ai envie de commencer mon texte par : « Si vous aimez les histoires qui finissent bien, vous feriez beaucoup mieux de choisir un autre livre »…
Samedi 6h j’attaquais donc les 60km 3700D+ du Verdon Canyon Challenge. Mon objectif était de le courir entre 10h et 12h mais différents conseils contradictoires m’ont perturber :
Patrice « il faut que tu sois dans les 12 premiers »
Ma femme « fait attention à toi »
Mes enfants « Papa t’es le meilleur »
Jean-Jacques « Profite du paysage »
Eric « tu vas crever »
Marc « passe vite ou très vite »
Dès le premier kilomètre ça attaque par un single très technique. La chaleur est déjà importante mais supportable. Pierriers, chemins sinueux, racines, escalades … pas moyen de courir mais il faut être extrêmement vigilant. Au 4éme kilomètre un gars est sur le côté il s’est cassé la cheville et l’hélicoptère est en route….Au bout du 15éme kilo on descend dans le canyon, de bien ça devient magnifique. On attaque le chemin Martel avec ses escaliers taillés dans la roche, son escalier métallique aérien, ses deux tunnels taillés dans la roche, le tout le long des eaux turquoises du Verdon. Le chemin est assez roulant. Je suis accompagné par 3 gars qui ont le même rythme que moi et ce n’est que du plaisir !
Tout va donc très bien jusqu’au 35éme. Nous sommes sortie du canyon et la chaleur devient insupportable. On passe sur le pont de l’Artuby (182 m) d’où s’élance des malades en saut à l’élastique.
 
Juste après le pont on rentre sur un terrain militaire, il faut imaginer un chemin de pierre blanche, large pour permettre à deux camions militaires de se croiser. Bien évidement ça monte, bien évidement c’est le cagnard, il n’y a pas d’ombre, zéro. Personnellement, je me concentre sur mes bâtons, je ne cours plus, personne ne cours plus…on arrive à des ravitaillements où tout le monde s’allonge sous le barnum. Certains parlent d’abandonner. Ambiance.
Après l’avant dernier ravito ça se complique : vidange par le haut, l’eau n’arrive plus à soulager, la nourriture ne passe plus, je suis totalement vidé. Quelques kilomètres avant le sommet, le ciel s’obscurcit et j’arrive à repartir un peu plus vite. Je viens d’arriver au dernier ravito et la grêle tombe pendant 10 minutes. La chaleur revient dès la fin de l’orage.
La fin est très très longue. Je croise des traileurs allongés sur le côté. Ils me croisent dans le même état plus loin…


 
La descente dure 3 kilomètres et comme le dit l’organisateur dans son road book : la section finale est raide. Elle est aussi technique, impossible de dérouler.
Enfin l’arrivée en 12h43. La délivrance !
En conclusion : côté physique, musculairement pas trop de problème (merci aux séances de PPG du Jeudi), la chaleur à eu raison de moi.
Côté course : une première partie magnifique, une seconde beaucoup moins. L’ambiance est bonne mais on est souvent seul.
Nicolas"

vendredi 23 juin 2017

Ze pic-nic de la section Athlé ... une belle première ! (23/06)

Plus de 40 adhérent(e)s étaient présent(e)s pour ce premier pic-nic de la section Athlé organisé par le bureau ... une bien belle réussite !!
La présence également de nos 2 coachs François et Guigui qu'on adore ...








 

lundi 12 juin 2017

Challenge du monde des grandes écoles (10/06)


Natixis était représenté par plusieurs adhérentes et adherents de la section AThlé de l'US Natixis sur le Challenge du monde des grandes écoles et Universités qui s'est déroulé au stade Charléty ... la preuve en image ...
 
 
 










jeudi 8 juin 2017

La trans'Ju ... suite (04/06/2017)

Récit de Frédéric C., un petit nouveau sur les sorties de la section Athlé  ...



"Enfin une vraie course qui se profile. J'ai pourtant enchaîné les courses depuis le printemps, mais celle-ci c'est quand même celle que j'attendais. Courir en montagne, voir du paysage et du dénivelé. Je garde en mémoire ma dernière descente dans  le Verdon l'année dernière et j'espère pouvoir refaire la même.
Et puis quand même, pour la première fois, je me fais un week-end avec un groupe de l'USN. Je connais déjà quelques têtes pour les avoir croisées aux entraînements ou au départ de quelques courses. Je ne suis pas inquiet, je suis plutôt enthousiaste de pouvoir faire un peu plus connaissance.
Le rendez-vous est à 7h45 à Charenton. A 8h je me retrouve dans la voiture de Lionel en compagnie de Nathalie et Dominique. Ça papote tout le trajet. Notre progéniture est souvent au centre de nos discussions. Et aussi les souvenirs partagés lors des précédentes excursions avec l’USN.
On se retrouve tous à Morez pour le déjeuner. Pizzas, frites, fromage et bière au programme. Le ton est donné : on est la pour se faire plaisir, pas pour faire une performance. Moi je suis un peu plus dubitatif, un pizza sans trop de fromage fera l'affaire.
Petit tour dans les stands après avoir récupéré les dossards. Certains cassent leur tirelire. Et ensuite direction le gîte et la piscine privatisée pour une partie de baballe entre grands enfants.
Encore plein de fromage pour le repas. Quelques bières pour les plus motivés. Si avec ça on ne carbure pas !
Et pendant ce temps il pleut comme vache qui pisse. Et ça durera toute la nuit pour ne s'arrêter qu'un quart d'heure avant le départ. Ouf !
Evidemment il nous en faut plus pour nous enlever notre bonne humeur. Et à 9h15 le départ est donné pour le 36 km +2000m en compagnie de Ben, Hervé, Marc, Fabienne, Didier et Bruno.
10 minutes plus tard Marc est déjà en train de demander quand est-ce qu'on arrive. Globalement Marc et Lionel sont les plus bavards du peloton. Marc parle tout seul et Lionel à toute personne passant à sa proximité.
Ok, je force un peu le trait.
Le fait est qu'on reste pas trop éloignés dans la 1ere côte qui nous permet d'être immediatement dans le bain. On se perdra dans les premières descentes un peu techniques et surtout très glissantes.
Je me sens plutôt bien et je prends un bon rythme en me disant que 36 km c'est pas si long quet ça. Et dans les descentes je me fais plaisir, j'ai mes genouillères magiques et je n’ai aucune crainte pour mes genoux. Ça me vaudra d'ailleurs un beau bain de boue, heureusement juste avant de traverser une rivière dans laquelle je pu ensuite me faire un petit brin de toilette.
Quand même, un gars portant les mêmes genouillères s'arrêtera devant moi vers le 15eme km en me disant qu'il avait trop mal aux genoux. Mais ça ne m'inquiète toujours pas.
Enfin la Dôle. Il faut quand même vachement grimper avant même de pouvoir en commencer la montée. La fatigue commence à se faire sentir, mais après il y a pratiquement plus que de la descente donc c'est pas le moment de se relacher. Malgré tous mes efforts, je me rends vite compte que c'est pas maintenant que je vais gratter des places. Le pire c'est quand je me fais dépasser par 2 pipelettes qui papotaient et rigolaient au point de saouler tous les marcheurs à 50 m à la ronde, pendant que je peinais à mettre un pied devant l'autre. La plus grande s'est même permise de repartir en courant après avoir tapé la bise aux flics stationné sur le côté avec leur quad.
En tous cas, le paysage était superbe et le soleil faisait même son apparition. Je me retournais régulièrement pour profiter du point de vue.
C'est une fois arrivé en haut que les galères vont commencer. Et cela n'a rien à voir avec Marie-Laure et Dominique  (sur le 23 km) que je retrouve en train de se dépêtrer au tout début de la descente.
Non, c'est mon genou droit et son fascia lata. Cet idiot, pour la première fois de son histoire, il se décide à se réveiller juste après une montée, alors que le cumul de descente n'est pas encore très important et que je porte mes genouillères magiques … qui finalement ne le sont pas.
Du coup gros coup au moral, j'avance plus et c'est à peine si je peux profiter des paysages qui sont vraiment magnifiques côté Suisse.
Et au lieu d'accélérer sur ces chemins très roulant, je suis pratiquement obligé de marcher tout du long. Je ne force pas trop non plus, je suis pas la pour me faire du mal.
Je fini par croiser Hervé (oui, je faisais demi tour pour aller récupérer mes bâtons oubliés au dernier ravito), je me fais rattraper par Lionel et finit dans les pas de Marc qui m'aura dépassé dans les 100 derniers mètres.
Benoît, Didier et Bruno en trio, Natalie en solo sur le 23 et Béatrice sur le 10km étaient arrivés depuis longtemps.
Marie-Laure, Dominique et finalement Fabienne arriveront peu après.
Au final ça fait une course magnifique, un week-end vraiment hyper cool avec un groupe de coureurs absolument sympathiques et avec lesquels j'ai eut grand plaisir à faire connaissance. Et l’organisation au TOP ! Merci beaucoup.
Malgré tout il y a pour moi une belle frustration due à cette fin de course chaotique. Et de la crainte par rapport aux 4000m de dénivelé que j'ai prévu de gravir, et de redescendre donc, en septembre prochain.

Mais il m'en faut plus pour me decourager, j'ai d'ailleurs déjà mon plan de bataille qui est prêt. Et ça c'est une autre histoire …."

mercredi 7 juin 2017

La Trans'Ju (04/06/2017)


La Trans’Ju Trail par « tintin » reporter (notre Marc F.)


« Le voyage vers le Jura fut un peu long (route coupée en fin de voyage), le logement quelque peu spartiate mais quelle course.
 


J’ai apprécié chaque seconde de ce trail humide, boueux et montagneux de 36 km, pleinement conscient de la chance de pouvoir participer à ce genre d’événements !!

Bien sûr c’est dur parfois et l’idée d’un abandon m’a traversé l’esprit (enfin ce qu’il en reste) aux alentours du 5ème km, la cuisse gauche me lançant à chaque pas sur une (rare) portion de bitume offrant la possibilité d’augmenter ma moyenne famélique.

Mais quelques bains de boue plus tard, avec deux belles gamelles à mon actif, et des ascensions puis descentes scabreuses qui ont (sur)chauffé les muscles, les douleurs initiales disparaissaient au milieu de la classique fatigue de course.
 
Oubliées les douleurs devant de si beaux paysages, la pluie du départ faisant peu à peu place à de belles éclaircies, des terrains variés avec des montées en sous-bois pour commencer, des descentes pas toujours maitrisées sur terrain gras, des collines d’herbe, des passages caillouteux et des montées à couper le souffle (l’expression y prend tout son sens).

Une montée vers la Dôle de toute beauté dans un long serpentin de coureurs et un point de vue à 360° au sommet, des traversées de pistes de ski ou plutôt des remontées puis des descentes de ces pistes. Le temps (réparateur) de quelques photos et je file (sic !) vers l’arrivée.

 


Ces 36 km ont passé vite, des courses comme ça j’en redemande !! Bravo à tous les Natixiens (8 sur le 36 km, 3 sur le 23 km et 1 sur le 10 km) et un éternel merci à nos organisateurs(trices) !!! »

 


 
 

Le 36 km et 2 000 m de D+ par Fabienne

 « Nous en rêvions de ce week end dans le Jura : verts pâturages, soleil qui réchauffe nos corps, pente qui chauffe nos cuissots….

Et bah non ! les orages qui sont tombés les jours précédents le trail ont planté quelques petites graines d’angoisse parmi les participants. Nous sommes arrivés samedi midi à Morez, le soleil a quand même pointé le bout de son nez.

Après un bon déjeuner diététique (escalope au comté accompagné de frites et de haricots verts…on n’est pas venus pour gagner, hein !) nous avons rejoint notre lieu de villégiature, l’Ecole des neiges de Lamoura et sa piscine.

Mettez 5 personnes dans une piscine avec quelques balles et la régression est assurée, nous voilà comme des gamins à se lancer la balle pendant 30 minutes. Echauffement des épaules en vue d’une utilisation intensive des bâtons le lendemain.

A l’école des neiges, l’heure c’est l’heure : à 19h à table pour savourer un autre repas diététique : la fameuse Morbiflette (tartiflette avec du Morbier). C’est bon mais c’est gras ! c’est sûrement pour ça que nous n’avons pas fait de podium J

La pluie est tombée toute la nuit non-stop, au réveil les mines ne sont pas à la fête mais au moins nous ne subirons pas la chaleur !

Direction Les Rousses pour déposer la voiture à l’arrivée. Un petit coup d’œil à l’arche d’arrivée: « rdv dans quelques heures !».

Nous montons dans le bus pour rejoindre la ligne de départ située à seulement quelques kilomètres, nous  ne prendrons pas exactement le même chemin en retour avec un détour par la Suisse.

Après une longue attente le départ est donné à 9h15, le soleil n’est pas au RDV mais au moins il ne tombe pas des trombes d’eau. C’est parti pour 36 km, la route est longue et elle est surtout très pentue : 2000m de D+ ! les bâtons sont de la partie et c’est tant mieux car ils aident à franchir les longues montées en épargnant les quadriceps. Je pars cool et je marche dès que ça monte en mode fast hiking, l’idée c’est d’arriver fraîche (je ne suis pas venue pour souffrir, OK ?).

La première partie en sous-bois nous protège de la pluie qui semble tomber, nos pieds ne sont pas épargnés : boue, passage de ruisseaux,  gazon détrempé, etc. Ce n’est pas sans rappeler un certain Trail Ardéchois d’il y a quelques années ! Ca grimpe mais ça ne descend pas beaucoup, tant mieux je préfère monter ! 1er ravitaillement à 14km, tout va bien. Le prochain est au 22ème et je sais qu’après il y a un gros morceau avec le passage en Suisse par la Dôle. La vue se dégage et le soleil commence à pointer le bout de son nez, à l’approche du 22ème j’aperçois la Dôle à plus de 1600m d’altitude.

Je reprends des forces au ravitaillement et zou direction la Dôle ! Pioooouuu, c’est pas le profil de l’ile de France mais j’adore, petits pas en rythme avec les bâtons : doucement mais sûrement !
 

Arrivée en haut il faut prendre le temps d’admirer le paysage, c’est aussi pour ça qu’on aime les trails ! La première partie de la descente réveille quelques douleurs au genou, je descends comme une empotée, comme d’habitude. Une nouvelle grimpette pour terminer la balade en Suisse avant d’attaquer une interminable descente, une grand-mère en déambulateur l’aurait descendue plus vite.

L’arrivée approche, j’aperçois Benoit qui va m’accompagner sur les 300 derniers mètres. Un petit clin d’œil à l’arche d’arrivée sous laquelle je suis passée en 7h02.

Week end réussi, tous finisher ! »