mardi 21 mars 2017

Trail de Griffon'Yerres (12/03)

Récit de Nhan Nguyen :
  
 
" Pourquoi allez chercher loin les forts dénivelés alors qu’à 2 pas d’ici, nous avons le Mont Griffon, entre Yerres et  Boissy St Léger, un des grands « sommets » du Val de Marne. Evidemment, culminant à 115m d’altitude, il ne lutte pas fort, et n’attire pas les grands traileurs !!!! Mais, il ne prive pas d’une sortie dominicale fort agréable dans un massif forestier de même nature que Fontainebleau, de part ses pins noirs, son grès, son sable et quelques rochers. Ce trail de 24km totalise quand même 600m de D+ ; 6 fois son altitude, nous devinez donc qu’on a du faire plusieurs montées et descentes sur son tracé.


Je retrouve Laurent au départ, mais très vite, je l’ai laissé partir devant, pour garder un rythme plutôt bucolique et profiter des premiers rayons de soleil printanier et du magnifique cadre du Mont Griffon. Les montées sont rudes et cassantes, marche obligatoire sur un sentier en zig-zag , les descentes sont slalomées et très fun, emprunt d’une piste de descente VTT avec des virages relevés. Et pour les habitués du Val de Marne, il y a une portion bien plate longeant le parc du Chateau de Maréchal De Saxe, et par endroit bien boueux. Enfin, notez que cette course propose également un tracé pour les enfants de 3km et un autre de 10km pour la découverte du trail, c’est donc une bonne occasion pour venir courir en famille."


Vidéos de Laurent Caraux

 

mercredi 15 mars 2017

Raid de l'ESSEC 11/03/2017

Le raid de l'ESSEC par Samuel Gotto et Marc Mauvisseau !!
Récit de Samuel :

"Lе Rаіd Essеc se déroule dans lе mаgnіfіquе Pаrc naturel régіоnаl du Vexin et est organisé par les étudiants de la prestigieuse école ESSEC.
 
 

Comme Marc tient la forme en ce moment, que c’est le roi de l’entraînement mais qu’il ne se risque jamais en course, je lui propose (sans trop le provoquer) ce raid histoire qu’il concrétise ses efforts et valide son niveau…
Et comme Sam aime bien faire des courses mais toujours en mode promenade, je me dis que c’est une bonne idée de lui faire découvrir une épreuve en se mettant un peu dans le dur pour une fois …
Le rendez-vous est donné entre 6 et 7h pour un départ à 7h30 (du moins c’est ce que l’on a compris). Donc réveil 4h45 (1ère épreuve dure), arrivée 6h30, mais tout va bien et la météo s’annonce très bonne.
Lors du briefing on apprend que le départ de 7h30 est celui des bus pour nous rendre sur le lieu de départ (soit 45’ de trajet…), le vrai départ sera donné à 9h ! Bon, ça va râler dans les chaumières…
 

Nous sommes 61 équipes, que des étudiants (bien jeunes et bien affûtés) et a priori (et à vue d’œil bien réveillé) seulement 3 équipes de plus 30 ans (Marc est le doyen, et on n’a même pas quelques secondes de bonus à l’égard de son âge) ! Toujours est-il qu’il ne se laisse pas intimider et fait quelque peu le paon (ndlr : les propos n’engagent que son auteur)…
Départ à 9h30 (j’ai connu des organisations plus ponctuelles et meilleures dans la communication) pour 12,5km de trail.
 
Version Samuel : On décide de partir à allure modérée, la journée sera longue, il faut en garder sous le pied et Marc donne le rythme.
Version Marc : Samuel part à bloc et je n’arrive pas à suivre en étant pourtant à 4’30-4’45 sur le plat…
Le parcours est quelque peu gras, bien vallonné et on le boucle en 9ème position.
On nous impose 10’ de pause (c’est bien la 1ère fois que je vois ça) mais ça nous donne le temps de régler les VTT fournis par l’organisation pour la suite de l’épreuve et de nous ravitailler même si on aurait pu repartir au bout 5’.
C’est parti pour 19km. Comme prévu Marc envoie et j’ai un peu du mal à tenir le rythme… On remonte quelques équipes surtout sur les parties plates où on se met en formation « US Postal ». Au bout de 10km crevaison arrière de Marc ! Je suis à peine descendu du vélo que Marc a déjà enlevé sa roue… Je sors la chambre à air mais problème : ce n’est pas la bonne taille ! J’ai du 26 ‘’ et il faut du 27’’5. J’enrage car on avait pris nos précautions en demandant à l’organisation la taille des pneus (réponse : 26 ou 29’’). Du coup je porte 2 chambres à air pour rien. On se fait doubler par une dizaine d’équipes. Heureusement que Marc a des rustines… Bref, on réalise le 36ème temps (no comment !).
On repart après 15’ d’arrêt mais nous n’avons pas pu gonfler la roue suffisamment. Marc n’arrête pas de pester, il « n’avance pas » et « gaspille de l’énergie » avec un pneu avec moins de 1 bar… Je lui avoue que ça m’arrange car j’arrive enfin à le suivre !
2ème ravito et 10’ de pause imposée : on en profite pour regonfler le pneu et c’est reparti pour 12km de VTT. On repart de plus belle et je vois la différence d’allure avec un Marc « gonflé » à bloc ! On reprend quelques équipes (4ème temps sur cette étape)
Pause déjeuné de 30’ imposée ! Finalement, ce système n’est pas mal du tout : on ne gère pas le timing c’est l’orga qui nous annonce le temps restant en fonction de notre arrivée et cela permet également de fluidifier le trafic, on se retrouve souvent seul.

 
On se prend une belle assiette de pâtes et on profite du temps très clément et du paysage. On se situe a priori 16ème.
Direction la course d’orientation 2km de vélo plus loin (juste le temps d’avoir bien mal aux fesses en les reposant sur la selle) et de se refaire une bonne côte pour bien digérer…
Le principe est simple : trouver 8 balises bonus de 8’ et 1 de 16’ en 40’. Toute minute de retard est pénalisée de 4’. A priori personne n’a trouvé la balise à 16’ (a posteriori seule la 1ère équipe l’a trouvée), donc on décide de la laisser pour la fin ou pas…
On prend 2’ pour analyser le parcours. On « jardine » un peu sur la 1ère mais après on enchaîne bien et vite !
On trouve 7 balises sur 9 en 37’, pas mal et le tout sur 6km (5ème temps) !
On enchaîne directement pour 15km de VTT. Le parcours est de moins en moins gras, plus roulant et ça me convient même si j’ai mal aux fesses et aux lombaires ! Je réussi quand même à bloquer ma chaîne dans le dérailleur mais Marc Gyver est là et après un coup de clé par ci et un coup de pied par là, ça repart (17ème temps sur cette étape, un peu déçu…).
10’ de pause avant 6km de run & bike. Ça sent la fin, le gros du dénivelé est fait. Néanmoins, l’organisme est bien entamé et le ventre en vrac. Il fait vraiment chaud, je bois beaucoup et donc le ventre est bien gonflé. On repart, on se relaie facilement et rapidement : dès que le VTTiste double le coureur il laisse le vélo 30m plus loin et part (ça nous fait des enchaînements tous les 200m).

 
Néanmoins les transitions sont dures, casse pattes et le parcours reste quand même bien vallonné. On est dans notre bulle, dans notre effort et on n’échange pas. Bref dans le dur, mais on essaie de mettre du rythme. On réalise le 10ème temps et à 2’ des premiers.
Après nos 10’ de pause c’est reparti : plus que 8km de trail ou plutôt encore 8km de trail…
Le parcours est roulant, Marc donne le rythme avec une bonne allure de croisière (11,5km/h de moyenne sur cette étape) et Sam est encore bien en forme et est obligé de m’attendre régulièrement en marchant. On rattrape énormément d’équipes parties avant nous et cela nous motive beaucoup d’autant plus que tout le monde s’encourage. Marc ne lâche rien et tient le rythme. La fin est plate, le long de l’Oise et est très rectiligne, c’est interminable…
Enfin l’arrivée, comme c’est moi qui ai la puce j’accélère (comme je peux) histoire de gagner quelques dizaines secondes mais le temps ne sera arrêté qu’une fois les 2 arrivés (5ème temps) !
Marc donne sa vie et s’effondre sur la ligne d’arrivée. Je le soupçonne de feindre un malaise pour qu’une belle étudiante lui fasse du bouche à bouche… Il fait chou blanc et tente sa chance quelques minutes plus tard avec les osthéos !

 
Finalement, c’est toujours les mêmes qui se défoncent à l’entrainement ou en course, je n’ai pas réussi à mettre Sam dans le dur…
Un réveil dans la nuit, 80km et 1 388 D+ à la montre, une très belle journée bien remplie et une équipe au top.
Même si ce n’est pas notre 1er partenariat, c’est notre 1er raid ensemble, et Marc sur une distance aussi longue. On s’est très bien complété, plus à l’aise en trail je menais et un Marc en VTT je souffrais…
Nous sommes partis peut être un peu plus lentement que d’autres équipes mais nous n’avons jamais été doublés sauf pendant nos réparations de roue/pneu et chaine/dérailleur !
On se classe en 7ème position sur 61 équipes avec une frustration sur le temps perdu à réparer la crevaison et les 8km roulés à plat… Mais bon, c’est les aléas du sport.

 
Merci à Sam d’avoir fait sa journée d’assistance aux personnes âgées, il faudra qu’on retente l’expérience et la prochaine fois je prends aussi des photos quand Sam « se repose »…"

mercredi 8 mars 2017

Semi marathon de Paris - 05/03/2017

Récit de Laetitia Rolland
 
"Le semi-marathon de Paris s’inscrit pour moi dans un objectif intermédiaire qui se trouve être le marathon de Paris.
L’entrainement spécifique marathon commence début janvier avec 3 à 4 entrainements par semaine, soit une cinquantaine de kilomètres par semaine. Au fur et à mesure des entrainements, l’allure cible semi se met en place et se confirme à 4’35 au kilomètre. Malgré des séances d’entrainements encourageantes, j’ai vraiment beaucoup de mal à croire que je peux tenir ce rythme sur 21.1 km.

Bref, l’allure est fixée et je ferai en sorte de la tenir.
La veille de la course, je mange un plat de pâtes complètes avec un peu de thon, ainsi que du pain complet avec fromage, et une banane pour finir. C’est bien le repas de la veille qui apportera l’essentiel de l’énergie pour la course donc je n’hésites pas à augmenter les quantités.
Le matin à 7h :
-          Gateau sport Aptonia
-          1 banane bien mure
-          Jus de pomme
-          Café
Equipement :
-          Adidas Boston Boost / chaussettes Kalenji
-          Corsaire Asics
-          2 tee shirt Kalenji
-          Manchon kalenji
-          Buff (que j’ai oublié d’enlever aux consignes)
-          Casquette (très important pour limiter la gène de la pluie)
-          Gel Énergétique liquide XXL 
Arrivée à 8h10 sur le site, repérage des lieux puis mise en tenue, passage aux consignes puis c’est parti pour un court échauffement. Je n’ai pas eu le temps de faire plus d’un km d’échauffement ; le temps est passé vite et je rentre dans le sas jaune (1h35) vers 8h40. J’arrive à me placer à l’avant du sas jaune en me faufilant. Il reste une 15aine de minutes à attendre avant le départ. J’essaye de bouger un peu afin de ne pas trop me refroidir. Le stress et la pression monte.
C’est le top de départ et l’excitation qui va avec. Je fais très attention à ne pas partir trop vite : erreur classique que j’ai souvent faite, trop excitée par l’euphorie des débuts. Je regarde ma montre plusieurs fois lors du 1er km afin d’éviter de dépasser mon allure cible et me griller dès le début. Je me fais doubler de toute part mais je sais que ca ne devrait pas durer. Dès le 3 eme kilomètre, les allures autour de moi se stabilisent et je ne me fais plus doubler. Il comme à pleuvoir sérieusement au 3eme kilomètres. Mes chaussettes se retrouvent complètement mouillées dès le 4 eme km mais c’est gérable. Je me sens bien et les kilomètres commencent à défiler. Je n’ai pas de sensation de froid, ni de chaud. Les groupes de musiques placés le long du parcours me galvanisent, je garde le rythme.
Je suis déjà à mi-chemin et tout se passe bien, j’entame le « retour » sur les quais où les conditions évoluent. L’exposition au vent est bien plus grande et les grosses flaquent très nombreuses. Les montées et descendes n’aident pas à encaisser le vent. Les choses se compliquent nettement lorsque je me fais submerger par un meneur 1h35 et toute la masse de coureurs associés. Je suis gênée de toute part et déconcentrée ; le chrono s’en ressent de suite : 4’48 au 12eme kilomètres. C’est un gros coup au moral qui peut me faire perdre l’objectif des 1’36’40. Je décide de réagir et de ne plus lâcher ce meneur 1h35. Il reste 9 kms et je décide de rester accrocher à ce meneur 1h35.Je prends une gorgée de gel afin de reprendre confiance et énergie pour tenir le rythme et essayer de finir dans de bonnes conditions.
Arrivée au 14eme, malgré les montées, le moral revient maintenant que la route est large et droite : je ne suis plus gênée par la masse de personne derrière le meneur. Je continue à coller ce groupe, hantée à l’objectif des 1’36’40. Les 15eme, 16eme, 17eme kilomètres défilent, je colle toujours au groupe sans réfléchir. Je reste concentrée ; je garde désormais mon gel à la main et prends des petites gorgées à chaque kilomètre. Je veux à tout prix éviter le coup de pompes que je ressens dans les derniers kilomètres. Je suis maintenant au 20eme kilomètre et je sens que les jambes vont très bien. Alors, galvanisée par la fin de course, j’accélère fortement, je double le meneur d’allure 1h35 et pleins de coureurs, c’est très jouissif. J’engloutie le dernier kilomètre en 4’05. L’arrivée est maintenant en visuel et j’aperçois sur ma monte 1’35’06. Je me dis qu’il est alors possible d’être en dessous des 1h36 et j’accélère encore un peu pour y arriver. Cette fin de course est inattendue pour moi qui ai l’habitude de finir à bout de forces. Les derniers mètres sont un sprint et je bipe à 1’36’04. Je n’ai pas réussi à passer en dessous des 1h36 mais je suis incroyablement contente d’avoir atteint l’objectif ; je lève les bras de bonheur.
Je bats au passage mon record du 10 kms de 11s à 45’04, et suis de nouveau super motivée pour les 5 semaines d’entrainement avant le marathon de Paris.
RDV dans 5 semaines pour le prochain récit "

lundi 6 mars 2017

Trail d’Auffargis (30km et 1 000D+)

récit de Samuel Gotto :
"2ème trail de préparation (après les 24km de l’Hivernal) en vue de notre objectif 2017 : le GR20 en 5j.
7h30 : on se met en route sous un grand ciel bleu…
8h20 : c’est cool, Météo France a encore prévu n’importe quoi ! Pas besoin de mettre de k-way.
8h45 : c’est sous le k-way que nous écoutons le briefing de départ en plein milieu d’un champ, perdu au milieu de nulle part.
9h : le départ est donné au son du cor de chasse.
L’objectif est de se faire les jambes avec un parcours assez exigeant : une succession de côtes (j’avoue on souhaite aussi faire -3h, ambitieux…).
Le ton est donné, mon partenaire envoie d’entrée de jeu. On a à peine fait 400m que les pieds sont déjà trempés et que je ne reconnais plus la couleur de mes chaussures…
A défaut de blabla-running c’est aqua-running ! On s’est échangé 4 phrases :
Km 2 - Moi : « tu ne pars pas un vite ? »
Lui : « … »
Au 8ème kilo, ça va un peu mieux, le diesel est en marche, les jambes sont  chaudes.
 Il y a de l’espace entre les groupes de coureurs, de beaux singles, de bonnes côtes assez raides, glissantes mais pas très longues.
Néanmoins, il pleut de plus en plus et le vent glacial s’intensifie (je pense que les coureurs du semi de Paris ont encore plus apprécié que nous…).
On grappille les places au fur et à mesure. La technique est simple : repérer un groupe, recoller, dépasser (généralement en côte) et faire l’écart dans la relance. Ça marche bien jusque-là.
Ravito Km 15 – Lui : « on ne traîne pas, on prend à emporter ! »
Moi : « … » (durée du ravito 38’’)
Km 17 – Moi : « attends j’ai pété un lacet ! »
Lui : « … ». En gros il fait semblant de ne pas m’entendre.
J’ai un système de laçage rapide dont la corde s’est cassée ! Croyez-moi qu’il est bien galère de tenter de faire passer une corde effilochée dans un trou plein de boue avec des doigts bien mouillés et quelque peu engourdis. Finalement, je fais 2 nœuds à l’arrache qui me tiennent le pied plus ou moins. Je n’ai qu’une peur s’est de perdre la pompe dans la boue…
Plus que 10km, tout va bien mais les groupes de coureurs sont de plus en plus rares et de plus en plus difficile à rattraper !
Je commence à être bien entamé au 24ème kilo, les jambes sont lourdes, les appuis fuyants. En fait, j’ai pris un éclat lors d’un faux plat montant de 1,5km et j’ai vraiment du mal à récupérer.
Bref, c’est dur.
Au 27ème kilo, c’est le coup de grâce : on passe 10’ à courir sur un balcon en dévers ! C’est horrible, on est à découvert, plein vent de face (sinon ce n’est pas marrant), et le single n’est pas plat, j’ai l’impression d’être un dahu à Holiday on ice ! Ça tire sur les adducteurs…
Lui : « Pu*** c’est dur, je commence à en avoir marre et plein les jambes. Ça va toi ? »
Moi : « Mouais ça va. C’est vrai que ce n’est pas facile ! Allez courage c’est bientôt la fin ». Rrrohhh le gros mytho, ça fait 4 km que je serre les dents (le reste des muscles étant déjà bien contracté…)
Enfin, nous voyons l’arrivée à 300m (toujours au milieu du champs). J’ai l’impression qu’on a mis un temps fou à les parcourir : vent de face, dans de l’herbe gorgée d’eau, on n’avance pas !
3h02 et 56ème au classement scratch sur 479 finishers.
Bon, on ne passe pas sous les 3h mais je ne vois pas où on aurait pu gagner ses 2’…
Ce n’est pas grave, on a noyé notre chagrin avec 2 ou 3 verres de vin chauds et la bonne sensation d’avoir mouillé le t-shirt ;-)"

mercredi 1 mars 2017

Course du Coeur 2017 - Jeu des Clics

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Le jeu des clics pour la Course du Coeur 2017 commence le 03 mars à midi !
 
A toi d'aller voter pour ton  équipe préférée (Natixis bien sûr) tous les jours week-end compris jusqu'au 02 avril, date d'arrivée de la Course aux Arcs 1800 !!
 
La Course du Cœur c’est quoi ? C'est une course à pied en relais sur 800 km reliant Paris au Arcs 1800, en 4 jours / 4 nuits, réunissant une vingtaine d’entreprises dont Natixis et qui a pour objectif de sensibiliser au don d’organe.
 
Le départ de la Course du Coeur sera donné le 29 mars.
 
C'est là qu'il faut aller cliquer : www.jeudesclics.fr